Sakki Ryuketsu [VOLONTAIRE] Du sang,de la chair,du sang![OK]

- Nom : Ryuketsu / Ryuuketsu

- Prénom : Sakki

- Age : 20 ans

- Taille : 1m74


- Descrïption physique :

Sakki est de taille moyenne, peut être un peu plus grand que la normale. Ses particularités sont ses cheveux de couleurs blancs et ses yeux dont on pourrait croire composés de deux pupilles, le milieu d’un noir profond entouré d’un gris clair. Ce qui semble parfois être interprété comme des lentilles.
Sa peau suit la couleur de ses cheveux, plus clair qu’à la normale et le bord de ses yeux son rouge comme si il était constamment éveillé. Il porte toujours une veste noire et une chemise blanche, ainsi qu’un pantalon de couleur noire et des basquettes blanches. Autre point bizarre, il laisse pousser ses ongles jusqu’à une certaine limite pour que ceux-ci prennent une forme pointue. Il est plutôt beau, se tient toujours bien droit et ne montre aucun sentiment. Le plus souvent ses cheveux cachent une partie de ses yeux et la moitié de son oreille droite qui est manquante.


- Descrïption caractérielle :

Sakki n’est pas comme tout ces fous qui sillonnent les couloirs des hôpitals psychiatrique. Non, on le définira plutôt comme un détraqué sensé. Il ne parle que très peu, chaque son sortant de sa bouche est prononcé d'un murmure. C'est une personne très calme, d'un air sérieux, froid avec un sourire de sadique. Il ne montre aucune émotion à part son sourire de pervers, il n’est jamais à court de stratagèmes pour arriver à ses fins.
Sa seule motivation, la chaleur humaine que procure le sang, son goût dans la bouche, la douceur des filaments de la chair craquer à l'arrachage de peau entre ses dents. Ça fait maintenant deux ans qu’il loge à l’hôpital psychiatrique le plus tristement célèbre pour les types de fous qui y résident. Mais, il a parcouru d’autres hôpitals psychiatriques.


Compte rendus des différents établissements :

Trouble de la personnalité narcissique :

Le narcissisme ou amour de soi-même, le sujet a un sens grandiose de sa propre importance
Le sujet exploite l'autre dans les relations interpersonnelles: utilise autrui pour parvenir à ses propres fins.
Le sujet manque d'empathie: n'est pas disposé à reconnaître ou à partager les sentiments et les besoins d'autrui.

Trouble de la personnalité paranoïaque :

Méfiance soupçonneuse envahissante envers les autres dont les intentions sont interprétées comme malveillantes
Le sujet discerne des significations cachées, humiliantes ou menaçantes dans des commentaires ou des événements anodins.
Le sujet garde rancune, c'est-à-dire ne pardonne pas d'être blessé, insulté ou dédaigné.

La psychose :

Une psychose est un trouble mental caractérisé par la perte du contact avec la réalité, une désorganisation de la personnalité, et la transformation délirante du vécu. Dans le cas de Mr. Ryuketsu, le sang en est le déclencheur.
Les psychoses se distinguent ainsi des névroses, dans lesquelles le patient garde la notion du réel, même si parfois il en maîtrise mal l'interprétation

La schizophrénie :

C'est une psychose, qui se manifeste par la désintégration de la personnalité, et par la perte du contact avec la réalité. Dans le cas de Mr. Ryuketsu, le sang en est le déclencheur.

Trouble de la personnalité Anti-sociale :

Mépris des autres.
Tendance à tromper par profit ou par plaisir, indiquée par des mensonges répétés.
Mépris inconsidéré pour sa sécurité ou celle d'autrui.



Mais tout à une explication…

- Histoire :

Né dans une famille de campagne, Sakki vivait paisiblement loin de la pollution des villes et de sa cruauté. N’ayant pas beaucoup de contact, il n’a jamais vraiment eu d'ami. Mais ne goûtant pas aux joies de l’amitié, il n’en avait pas un soupçon d’existence. Son père était un passionné de chasse et il y passé la moitié de son temps en compagnie d’autres chasseurs aussi dingue de ce loisir.

La chasse, plus qu’un mot pour Sakki, un autre monde où tout est permis, même le meurtre d’animaux inoffensifs que ce soit des faisans, des cerfs, des lapins ou autres que son père ramené à la maison à chaque sorties. Sakki étant trop jeune, rêvait du moment où il pourrait accompagner son père quand celui-ci décidera qu’il sera enfin prêt à tenir une arme et faire feu.

Ce jour-là arriva, le jour de ses 16 ans, son père lui offrit une carabine d’occasion et l’invita à rejoindre le groupe des hommes… les chasseurs, des héros aux yeux de Sakki, partant à la guerre, en pleine jungle peut-être, contre de féroces créatures si grosses que sont père n’osait pas les ramener avec lui tant leur corps ne pouvait être déplacés. L’extase, l’euphorie, Sakki aller goûter aux joies de cette guerre, les hommes contre la nature.
Arrivé au bord d’un petit bois, le sifflet retentit, Sakki ne lâchait pas son père d’une semelle, ni son arme. Il ne fut pas longtemps pour entendre des coups de feu au loin, ce qui procurait au jeune enfant une sensation nouvelle qu’il ne connaissait pas, c’été à la fois effrayant et excitant.

Il fallait qu’il tire, il lui fallait une victime à tout prix. Ça ne fut pas long, un cerf à 20 mètres, le père et le fils couchés sur le sol, laissant l’enfant se baptiser à l’art de la chasse. Sakki n’écoutait pas les conseils de son père, il n’en avait rien à faire, ses yeux étés remplis d’insatisfaction et il fit feu, la balle traversa l’air pour se loger dans la carotide de l’animal. L’arme tremblait, ses mains avec, l’extase totale.

Sur l'effet de l'excitation, il courut vers sa victime, se précipitant sans réfléchir n’écoutant pas les cris de son père. Alors qu’il n’était plus qu’à 5 mètres de la bête, une douleur atroce se fit sentir, il tomba sur le cerf dont la carotide le plongea dans une marre de sang. Il venait de se prendre une balle, arrachant la moitié de son oreille droite.

C’est à ce moment là, couché sur la bête, recouvert de son sang, qu’il sentit cette chaleur si intense, la sang de l’animal commencé à le recouvrir, ce même sang qui le faisait chavirer dans le délire, la chaleur que lui procuré ce sang, la douceur du fluide le recouvrant, l’odeur de cette essence de vie qui lui parcourait les narines jusqu’au plus profond de ses entrailles. Il respirait de plus en plus fort, un sourire se dessina sur ses lèvres.

Ça venait de se réveiller…

Et c’est à ce moment bien précis, qu’un détraqué venait de naître.

Le détraqué se releva, couvert de sang et enfonça ses deux index dans le trou que sa balle avait creusée dans la chair de l’animal et avec toute sa frénésie, il arracha la peau de la bête, la déchiquetant, retirant tout les morceaux de chair pour s'enduire du sang de l'animal. Il respirait très vite, comme si il en faisait une overdose. La bête commençait à ne plus ressembler à rien et après s’être enduit de la substance rouge, après avoir retiré tout les organes avec acharnement, comme un enfant complètement dingue déchirant le papier cadeau, il y forma un trou à la place du ventre avant de s’y introduire lui même du plus qu’il le pouvait.

De la bave sur ses lèvres, de la furie dans ses yeux, de l’extase, une euphorie totale, une délectation. Le sang que lui procuré cet animal l’envoya dans un état psychotique.

Tout ça ne dura que 2 minutes, l’enfant c’été acharné avec férocité sur l’animal afin de se réchauffer de cette chaleur si intense, si envoûtante que le fluide rouge procuré, étant blottit dans ce qui resté du ventre de la bête. Son père affolait par le coup de feu d'un de ses compagnons qui avait pris son fils pour du gibier l’aperçut ainsi que les autres chasseurs, il en fut choqué, les mots ne lui venant plus, il retira son fils du tas de chair, celui-ci ne se débatta pas, mais il y lança un dernier sourire macabre en direction des chasseurs et du amas de chair.

Depuis le jour de ses 16 ans, Sakki n’a d’yeux que pour la chasse, mais depuis ce jour, il n’était plus ce qu’il était, mais un être pervers, assoiffé de sang venait de prendre vie, broyant avec facilité l’ancien Sakki. Son père prenant sa réaction comme un effet secondaire dû au choc et à la peur de la balle qui avait déchiquetée son oreille droite de moitié, décida après quelques semaines d’effaçer ce mauvais souvenir en le ramenant une deuxième fois à la chasse.

Chose qu’il n’aurait jamais du faire…

Le chasseur qui lui avait arraché involontairement son oreille avait été retrouvé allongé sur le sol, les boyaux à l’air, le ventre écartelés et une mare de sang conduisant 4 mètres plus loin à Sakki, tenant en main un morceau de boyau, le serrant très fort dans ses mains, comme une fillette protégeant sa poupée contre tout danger. Le chasseur s’était pris une balle dans le ventre et une autre dans la carotide, Sakki avait tiré à bout portant alors qu’il faisait semblant de sympathiser avec lui.

Il fut interné dans un hôpital psychiatrique pour jeunes détraqués, l’hôpital Kuruu dans la capital de Tokyo. Son état ne s’arrangèrent pas au contraire, par plusieurs reprises entre délits de coups et blessures sur d’autres pensionnaires, parfois effusions de sang qui pouvait tournait vite au drame sans l’intervention des gardes. Il fut isolé, trop dangereux pour les autres. Deux ans passèrent et son état n’avait qu’empiré, il venait d’avoir ses 18 ans, mais étant trop âgé pour ce genre d’établissement, il fut interné à l’hôpital psychiatrique de Nukitai dans la ville de Nagoya. Malheureusement, la direction n’avait pas eu information de son état psychotique dangereux et lui on attribué une chambre avec colocataire.

Ce même colocataire qui hurla à la mort la première nuit de Sakki à Nukitai, des hurlements terribles sortaient de la chambre, les gardes ont du forcer la porte pour ne pas perdre de temps à retrouver la bonne clé. Ils y découvèrent une abomination, une vrai boucherie, un corps déchiqueté, le ventre ouvert, les boyaux éparpillés un peu partout et une trace de sang énorme conduisant au détraqué dans un coin sombre de la pièce. Sakki s’était de nouveau recouvert de sang, tenant dans ses mains des morceaux d’organes afin de se réchauffer de la vie de son défunt colocataire. Ses cheveux blancs cachant une partie des ses yeux étaient teintés de rouge, percées par la substance de l’extase et de l’euphorie. Son sourire en disait long sur son état. Il était heureux, il avait enfin pu recommencer, non, il n’y avait pas mieux pour lui.

Après deux jours à Nukitai, on l’expédia dans le pire établissement du pays, connu tristement pour ses pensionnaires, des meurtriers détraqués, n’ayant aucune notion de la réalité, les pires dingues enfermés dans un seul et même endroit, l’hôpital psychiatrique des meurtriers, Kuruwasu. Hôpital isolé loin des grandes villes situé au nord de Sapporo. Il y fut lui même isolé comme tout pensionnaires de cet établissement dans une chambre cloisonné de coussin, les bras liées par une combinaison. Il y résida 2 ans. Pourtant isolé, un jour alors qu’on venait lui apporter son repas du midi, il agrippa le bras du pauvre gardien qui faisait passer le plat de l’extérieur à la chambre par une trappe n’ouvrable que de l’extérieur. Les longs ongles du jeune homme transpercèrent sa peau et ses dents broyèrent la chair. Le gardien s’en était tiré bien que l’usage de son bras ne soit plus très potable. Le jeune homme avait laissé ses ongles pousser de sorte qu’il pénètre plus facilement dans la chair ce qui fut une réussite! Il avait réussi à se détacher de sa combinaison mais personne ne pu comprendre comment il avait fait.

Il commençait à faire peur aux autres pensionnaires qui avaient encore assez de cervelle pour comprendre un minimum cette menace.

Le directeur ne pouvait plus le garder, c’été un danger, on ne pouvait rien faire.
Pendant des mois, il chercha un endroit pire que celui dont il était directeur, en vain.

Mais un jour, il trouva la solution.
Une annonce sur le net, des inscrïptions limitées pour des volontaires motivés et en soif de sang.
Un jeu barbare, des élèves, une île, un seul survivant… la loi Br.

Il l’inscrit sans hésitation. Il fallait qu’il soit prit, il fallait qu’il parte et il vallait mieux pour tout le monde qu’il n’en revienne pas. Le gouvernement lui-même avait investit dans ce projet, tout était légal, il ne restait plus qu’a attendre la réponse des organisateurs de Battle royale. Ceux-ci ne fut pas long, 3 jours plus tard, il reçu une réponse confirmant l’acceptation du volontaire Ryuketsu Sakki.

Six semaines plus tard, les organisateurs de Battle Royale venaient étudier le spécimen avant de l’embarquer.
Le malade avait beaucoup plu à ceux-ci par son curriculum vitae de détraqué.

Le détraqué contre le mur, ses pensés exprimant une expression sadique, l’ouverture de la trappe, une bombe dégageant du gaz. Sakki venait de s’écrouler au sol.

A son réveil, il comprendra.



- Situation sociale : Pas de niveau sociale.

- Aime : Le sang, la chaleur du sang, l’odeur du sang, l’euphorie qu’il en dégage, les hurlements de souffrance des gens, la sensation de transpercer la chair et plus que tout, il s'aime, rien n'est plus important que son bonheur.

- Déteste : Très rancunier, il déteste toutes réactions qui lui semble provocatrices. Il n’aime personne, mais peut sympathiser artificiellement pour ses propres fins. Il déteste quand on le dérange, surtout en plein de son tripe.

- Ami(e)s : Aucun

- Ennemi(e)s : Les autres

- Gentil ? : Bien sur que non.

- Méchant ? : Sadique, détraqué, ne pensant qu’à lui et à son bonheur.

- Citation : Je veux juste me réchauffer.

Validé monsieur le volontaire!