Face aux professeurs

Yoko sauta au cou du jeune homme qui eu du mal à reprendre sa respiration.

« Héhéhé doucement! »

Elle commençait à raconter une histoire d’extra-terrestre qui fit sourire Suijin.

« Le mec en blanc…. Ne t’en approche pas ok? Reste prêt de moi! »

Suijin fixa l’albinos et tout d’un coup tout se précipita.
Un enorme vacarne fit paniquer toute la salle, un hélicoptère à première vue.
Suijin serra fort Yoko, puis la porte de la classe valsa et une vingtaine de militaires s’y introduirent. Suijin paniqua, il fit de grand yeux.

* Merde….. qu’est ce qu… *

Au même moment, il compris que tout avait été prévu, le voyage aller être douloureux…

Il aperçu alors Dakota, la prof avait l’air sous le choc, les militaires la forcés à avancer.

Suijin encore stupéfait par la violence de leur entrée fixer sa titulaire.

Yoko serra alors Suijin en répondant d’un petit ton à la prof.

« T’inquiete Yoko »

Suijin repris son sang froid et d’une voix haute lacha quelques mots.

« Oh doucement Avec La prof !»

Complètement blasé le jeune homme resta collé à la ptite Yoko.

Negi regardait les élèves se parler,se disputer,s' insulter et à chaque fois,ses tremblements prenaient de l' ampleur.
Il fixait ces élèves d' un autre établissement qu' on aurait pu surnommer comme des "ratés".
Bien sur il ne voulait aucun problème,mais sa mauvaise nuit,ses tremblements et ses nouvelles choses le rendaient agressif ou du moins,plus méchant qu' à l' ordinaire car agressif n' est pas le mot qui pourrait décrire Negi.
Il essayait de réfléchir mais aucune idée ne lui venait en tête.


Tout d' un coup,on ouvrit la porte de la salle de classe.Des militaires entrèrent...et au grand désespoir de Negi,ils étaient armés!!!!!!!
Tout le monde savait que l' armée de "basse classe"(voir livre),était constituée d' idiots agressifs et sans coeur.
Ils n' hésitaient pas à tuer en pleine rue et pouvait se montrer sans pitié même contre des innocents.
Ses tremblements reprirent.
Les militaires étaient suivis par deux femmes qui semblaient apeurées et inquiètent.Negi en reconnut une,c' était sa professeur,elle était adorable et il supposa que l' autre était la responsable de l' autre classe.

Par la fenêtre, une violente lumière envahit la salle. Il semblait s’agir d’un hélicoptère et bien qu’extérieurement Kazuma resta impassible comme à son habitude, il retenait à présent sa respiration, presque inconsciemment. La tournure des évènements l’intéressait au plus haut point, et lorsque la porte d’entrée s’ouvrit avec fracas, le glacial Harpocrate sut que quelque chose d’énorme venait de commencer. La lumière fût.

On s’habitue si vite à l’obscurité.

Battement de cils.
Les professeurs des deux classes avaient fait leur entrée. Elles étaient déjà criblées de questions plus ou moins utiles. Hartford-sensei semblait confuse et les paroles qu’elle prononça, plutôt décalées, auraient tout aussi bien pu sortir de la bouche d’Iino Kazuma. A ses cotés, la femme qui avait la charge des lycéens de Dotan’ba Kikai affichait le masque de la gravité et de la détresse. Ses excuses lancèrent une bourrasque de vent glacial. Rien n’échappa au jeune homme, et surtout pas les armes, les treillis, les rangers et toute cette violence qui suintait dans l’air poisseux de la pièce.
Picotements au bout des doigts.

Les nouvelles sont là, imminentes. Que m’arrive-t-il ? Est-ce cela, l’impatience ?

Ne quittant pas des yeux le centre de l’attention générale, concentré à l’extrême, Kazuma saisit sans s’en apercevoir les doigts fins et légèrement engourdis de sa main gauche.
L’orange aimait à virer au rouge.

Sori allait répondre à Hino quand d'un seul coup son proffeseur ainsi qu'un autre peu connue entra dans la salle accompagné de militaire. Sori ne comprenait pas et resta tranquillement a regarder la scene des élèves de sa classe deja en train de se rammasser des coup par les militaires en voulant contester avec leurs proffeseur.

*Tiens dont je sens que la sortie va commencer...*

Sori eu un sourire en coin il s'attendait au pire. Minako chuchota à Sori

" J'espère que tu sera assez intelligent pour ne pas te donner en spectacle comme tes camarades."

Sori lui chuchota en retour.

"Je pense que ce n'est pas de mes abitude j'aime savoir ce qui ce passe"

Sori continua a fixer les proffeseurs et les militaires sans rien dire, il resta la à admirer la scene.

Yuneko était assise par terre avec Akira-kun lorsque la lumiere s'alluma. Il se leva vite entrainant la jeune fille avec lui. Sans trop savoir ce qu'il se passait, Yuneko se retrouva a coté de Lucy mais elle ne dit rien. Elle en voulait un peu a Lucy d'avoir parlé de son secret a Akira, mais apres tout, c'était grace a elle qu'elle avait trouvé le courage de tout lui avouer.

Akira semblait tendu, révolté, il demanda a Yuneko et les autres de rester derriere lui.. que se passait-il? Miss Hartford était la, avec le professeur de l'autre classe, mais qui étaient ces militaires? L'idée de Yuneko pour la chasse au trésor géante tenait quand meme la route.. alors elle s'accrocha a cette idée.

- Lucy.. tu vas bien..? euh.. t'en penses quoi toi..?

A coté de Lucy, Yuneko appercu Hiromi [Je suppose] Yuneko se sentit soudain un peu mal.. elle savait qu'Hiromi ne l'aimait pas beaucoup, elle savait aussi pourquoi.. Yuneko risqua quand meme un léger sourire.. elle l'effaca tout de suite en se rappellant que son sourire était le meme que celui de son grand frere Haku.

Ichiko s’était enfui lorsqu’un garçon de l’autre classe avait commencé à riposter, elle cherchait désespérément du regard son ami Atsuke mais le noir, la panique et les tendances schizophrènes et torturées de la jeune fille ne l’aidaient pas. Puis soudain la lumière se fit et son professeur ainsi qu’une autre femme entrèrent avec des militaires. Elle se mit immédiatement à hurler :

« Satanas Caritas !! Vous ne nous empêcherez pas d’atteindre le but !! Enlevez-moi ça !!! Chiens galeux !! Je ne me ferais pas asservir par des envoyés de Dieu !! »

Elle se débattait seule en tirant sur son collier, elle tomba à genoux devant son professeur et tira sur sa jupe :

« Sensai !! Traîtresse !! Vieille peau, sale vendue… Satan vengera ses chevaliers de cet affront !! »

Elle ne savait pas ce qu’il se tramait mais la présence des militaires de ce pays au gouvernement tyrannique suffisait à lui faire employer les grands mots.

Les professeurs...Enfin là ! Une part d'Aya se rejouissait...tendit qu'une autre etait encore en panique. Elle etait toujours proche de son ami, ne l'ayant point quitter depuis qu'il se sont retrouvé. Elle laissat parler Sekku. Elle se demandait ou elle etait...et Pourquoi ses Militaires, Il sont venue nous sauver ? Ou ce sont eux nos ravisseurs. Les autres s'ameutait vers les profs...toujours les même questions...sans reponse. Elle essaya de prendre la parole, mais dans un soufle, elle s'arreta net et dit a haute voix, de façon a ce que Sekku entende ses paroles.

"Ce n'est pas la peine de poser des questions...Hein Sekku ?"

Elle prit la main de son ami, avant de le regarder. C'est vrai, on y peux rien, c'est le "destin"...

[HJ: Attendre que L'autre professseur poste avant de répondre]

Mikomi jeta un coup d’œil à sa collègue qui semblait vraiment ne pas avoir intégré totalement le but de ce jeu macabre. Elle frissonna de terreur, il fallait alors que ce soit elle qui explique à tous ces élèves le but de leur présence ici. Son cœur se serra, et elle reporta son regard angoissé sur l’assemblée des jeunes condamnés. Et aussitôt les réactions des élèves fusèrent.

Rei Ayase, une jeune fille agressive mais que Mikomi avait tenté d’aider à plusieurs reprises, se mit à accuser la jeune femme de les avoir menés ici. Mikomi eut l’air choqué et répondit :

« Non, Rei… Ce n’est pas de notre faute… Je… J’ai essayé de vous éviter ça par tous les moyens… Mais ils ont des moyens… Je n’ai rien pu faire contre eux… »

On sentait que la jeune femme était bouleversée. Elle s’arrêtait pour refouler les larmes qui voulaient jaillir de ses yeux noisettes. Elle tenait à ses élèves comme s’ils étaient ses enfants. Et elle avait le plus grand mal à se résigner à leur apprendre la raison de leur présence ici et de ces colliers enserrant leurs gorges. Puis ce fut au tour de Zak de s’adressait à elle. Elle aimait beaucoup ce garçon. Sa question était bien plus explicite que celle de Rei, et elle sentit qu’elle devait vraiment commencer à les informer. Elle prit une profonde inspiration, ferma les yyeux quelques secondes et ouvrit enfin la bouche :

« Ecoutez… C’est très difficile pour moi de vous expliquer ça… Mais si vous êtes ici, c’est à cause du gouvernement…Ils vont ont sélectionnés pour… une sorte de jeu… Un jeu horrible… »

Des élèves de l’autre lycée s’adressèrent à leur propre professeur, puis Ken qui soutenait Maki lui rappela que ses paroles ne leur apprenait pas grand-chose. Elle le regarda puis s’attarda sur la frêle jeune fille qu’il aidait. Maki était une des élèves avec laquelle Mikomi avait construit une réelle relation de confiance et de confidence. Elle savait que la jeune fille était fragile, que son anorexie la rendait vulnérable. Et elle se retrouvait ici, c’était vraiment trop injuste, une larme roula sur sa joue et elle répondit :

« Une loi… du gouvernement. C’est à cause d’eux… Ils vont se servir de vous comme des cobayes… Pour développer leur armée… »

Elle avait du mal à s’exprimer et en même temps, Ruy commença à agresser un militaire. L’homme bien charpenté ne fit que rebondir sur le mur et il braqua immédiatement son arme sur le garçon. Totalement paniquée, Mikomi se rua entre eux deux juste au moment où le militaire avait décidé de frapper le jeune homme avec la longue crosse de son arme plutôt que de lui tirer dessus. En s’interposant elle hurla :

« Arrêteeez ! »

Elle reçut le coup à la place du jeune homme et tomba au sol. Sa pommette était douloureuse, mais la colère était plus forte que la souffrance. Elle releva et se mit à crier à l’encontre du militaire qui ne semblait pas se formaliser que son coup ait atteint une mauvaise cible :

« Laissez-les tranquilles… Ils sont bouleversés ! Vous vous croyez forts avec vos armes ? Vous attaquez à des jeunes et des femmes, ça vous plait hein ?! »

Des larmes s’échappaient de ses yeux pour inonder ses joues. Elle avait vu de trop près ce qui allait se passer pendant trois jours sur cette île. Une suite de trahisons, de souffrances et de violence. Elle essuya ses joues humides mais Kao, un élève attachant mais infiniment indiscipliné, s’approcha pour éloigner son ami Ryu. Elle crut donc pouvoir détourner son regard de la scène et se retourner vers le reste de la salle. Mais les mots de son élève la firent faire de nouveau volte-face. Il venait d’uriner sur l’homme. La peur l’envahit. Tous ses élèves étaient pour la plupart de vrais têtes de mule, et ils ne comprenaient certainement pas qu’ici, contrairement à dans la rue, ils ne pouvaient pas faire la loi. Une pression sur la gâchette et ils étaient soumis à la loi du gouvernement.

Elle s’interposa encore. Le militaire avait l’air vraiment hors de lui, il pointait son arme vers Kao mais Mikomi se plaça devant lui. Le canon de la Kalachnikov touchait son ventre, elle ferma les yeux et ordonna sans savoir si elle avait un quelconque droit de le faire :

« Ne tirez pas. Vous ne devez pas les tuer maintenant… Sinon, à quoi servirait donc cette…loi ? Reculez, et… voilà. »

Son « maintenant » n’avait pas du échapper aux élèves, et en plus pour convaincre ce militaire elle devait feindre d’être pour ce programme. Agir pour le bien du programme, ça lui donnait froid dans le dos et elle n’avait pas été convaincante du tout bien sur. Mais l’homme recula tout de même avec un air renfrogné. Il ne voulait certainement pas tuer le professeur responsable de la classe, ses supérieurs ne seraient pas contents. Soulagée, Mikomi se tourna vers Ka o et Ryu. Elle posa sa main sur l’épaule du jeune Tento :

« Je vous en prie, calmez-vous… Je sais que c’est difficile… Mais, ça n’arrangera rien de mettre votre vie en danger… »

En danger ils y étaient déjà depuis que leurs colliers avaient été activés dans leur sommeil. Leurs vies étaient maintenant aux mains du gouvernement. La remarque amusée de Yoshigawa ne la fit pas rire. L’instant était trop dramatique. Elle répondit :

« Non… C’est encore en lien avec cette loi. La loi Battle Royale. »

Voilà, elle l’avait énoncée. Les élèves n’en avaient jamais entendu parler à part les deux volontaires. Mais le nom était déjà évocateur. Il y avait une histoire de bataille. Les questions des élèves étaient de plus en plus présentes. La voix douce de Maki et l’agacement de Shin, tout se mélangeait. Un élève de l’autre classe se mit même à s’adresser à un militaire comme s’il le connaissait et à donner des ordres. Mikomi avait mal à la joue et un gros hématome commençait à se former sur sa pommette gonflée. Elle n’arrivait pas à dire ce qu’elle devait annoncer.



Mes ses pensées n’arrivaient pas à franchir ses lèvres. Elle avait remarqué les deux personnes qui ne portaient pas d’uniforme. Les volontaires dont la fiche parlait. Puis, tout à coup Ichiko se mit à l’insulter en s’effondrant à ses pieds. Mikomi s’abaissa à côté d’elle pour la calmer même si elle savait que ça serait sûrement inutile. Elle lui dit :

« Je n’y suis pour rien… J’t’assure Ichiko… »

Un militaire attrapa la jeune satanique sans prévenir par le col et la jeta dans la masse des élèves. Il avait l’air lassé d’attendre. Il regarda Mikomi avec un visage dur et lui ordonna :

« Maintenant, fini les pleurnicheries ! Expliquez leur le programme, ou je tire dans le tas ! »

Mikomi blêmit. Le peu d’autorité qu’elle avait réussi à acquérir avec un de ses collègues venait de s’envoler. Il pointait maintenant son arme vers la salle emplit d’élèves apeurés ou sur les nerfs. Elle bégaya immédiatement :

« D’a-d’accord. Je vais le fai-faire. Mais arrêtez avec ces armes ! »

Elle avait l’air au bord de la crise de nerf. Elle regarda la blonde ignorante et s’adressa à elle :

« Je crois que vous n’avez pas réellement compris ce que vos élèves font ici. Alors jue vais le dire moi-même… »

Petit blanc, elle déglutit et prononça enfin :

« Vous allez devoir vous entretuer… Jusqu’au dernier. »

[HJ = désolé du retard, mais vacances obligent]

Dakota fut surprise de voir la réaction des élèves de l'autre lycée. Il témoignaient une véhémence non dissimulée envers leur enseignante. Certains mêmes étaient grossiers - les premiers mots que Dakota avait appris étaient les insultes - et se plaignaient de porter d'étranges colliers autour de leurs cous.
C'est vrai que ces mystérieux bijoux ne laissaient rien présager de bon, car cela réduisait les élèves au rang de bêtes de foire, ce qui ne plus absolument pas à l'américaine.

Elle se tourna vers celui qui semblait être le chef des militaires, qui, au dans la confusion, commençait à raconter des blagues cochonnes à sa brigade, manifestement inspiré par la présence de la blonde occidentale. En effet, au Japon, les personnes aux cheveux et yeux clairs constituaient le fantasme de bon nombre d'hommes, et, se sentant observée, la professeur commençait à etre mal à l'aise.

" Vous allez retirer ces horreurs du cou de mes élèves immédiatement... Ce ne sont pas des animaux ! "

Le militaire bedonnant observa Dakota quelques secondes, puis éclata de rire. Il regarda Dakota comme si elle était une misérable larve, seulement, elle n'était pas du genre à se laisser impressionner.

Mais devant toutes les interrogations de ses élèves, elle se dir que le plus urgent était de rétablir l'ordre dans la salle avant de s'occuper de ces colliers.

" J'ignore pourquoi vous êtes ici, à l'heure qu'il est nous devrions être à l'aéroport pour aller à Sydney comme cela était prévu. Il a du y avoir un problème dans le car..."

Elle s'adressa ensuite à Yulie, qui se plaignait de se retrouver enfermée avec de tels énergumènes : les élèves de l'autre classe.

" Je suis sure que ton bracelet est dans tes affaires Yukie. Il n'y a pas de voleurs dans votre classe. Quant aux autres élèves, ils méritent un peu plus de considération de votre part. Il ne sont pas inférieurs à vous. Respectez les. "

L'inquiètude sucitée par la situation rendait la cohabitation entre les deux classes assez difficile. Les élèves de Mikomi étaient violents, quant aux siens, ils avaient de la répartie. Certains commençaient même à s'impatienter et à en devenir désagréable avec Dakota. Certaines questions étaient redondantes, récurrentes.

" Akira, j'ignore pourquoi vous êtes ici avec tous ces militaires. Mais cela n'a rien à voir avec le projet Kok-13. Ne vous inquiètez pas, j'ai l'impression que l'autre prof est au courant de ce qui se passe... "

Elle tourna la tête vers sa collègue asiatique, qui, elle devait faire face aux insultes de ses élèves. Elle semblait bouleversée, perdue... Apparement, elle disait qu'ils étaient ici pour participer à un jeu horrible organisé par le gouvernement. Pour développer l'armée japonaise, selon un décret de loi.
Il y eu alors une altercation entre un élève et un militaire, Mikomi s'interposa et s'écroula sur le sol. Dakota s eprécipita sur elle.

" Ah, vous vous croyez forts n'est ce pas? Frapper sur une femme et des adolescent. En plus, vous êtes armés...Laissez nous tranquilles. Dégagez! "

Dakota, dans le feu de l'action, ne perçut pas le mot tuer qe Mikomi prononça, et une fois que le militaire s'était dégagé, elle l'aida à se relever.
Elle continua alors à expliquer à ses élèves, mais aussi à Dakota pourquoi tout le monde se trouvait ici, à cause d'une loi, la loi Battle Royale. Elle essayait de se disculper auprès de ses élèves, comme si l'organisation d'un tel jeu était une catastrophe, un désastre, un cauchemar.

Le chef des militaires commença à s'impatienter, et ordonna à Mikomi de dévoiler le véritable but du jeu.
Elle se tourna ensuite vers Dakota, avec bienveillance. Son regard exprimait en quelque sorte un sentiment de culpabilité, celle de dévoiler à contre coeur à l'américaine la raison du pourquoi tout le monde était ici.

"Entretuer"... cela ne pouvait pas être possible. Cela était contraire aux droits de l'homme. Cela était indigne d'une démocratie puissante telle que le Japon. Elle choisit de ne pas croire un mot de la japonaise.

Tout ce qu'elle savait en revanche, c'était que jeu ou pas, ses élèves courraient un danger invisible. Tous des menteurs, ils jouaient tus la comédie pour faire peur à des adolescents. Elle était si choquée de la débilité de la situation qu'elle en riait presque.

" Prenez vous affaires, on s'en va. Ils sont tous dingues. Je vais en informer de ce pas l'ambassadeur des Etats Unis. Les blagues de mauvais gouts... ça va 5 minutes. Mais là, faut aller tous vous faire soigner !"

Elle se dirigea vers la porte d'entrée, prete à sortir et à faire sortir ses élèves de cet endroit.

Naoko était restée silencieuse pendant un long moment. Elle savait que des explications seraient données, et elle ne supportait pas l'hystérie qui s'était emparée de sa classe, mais surtout de celle de déchets de l'autre.
Tout en patientant aux côtés de Kazuki et Akeno, ainsi que, malheureusement, Yukie et sa voix horribles, Sekku et ses délires et la garce au bois dormant.

Mais la situation commençait réellement à dégénerer...non seulement les "élèves" de l'autre classes étaient d'un vulgaire rare, n'hésitant pas à insulter leur professeur et les militaires, mais un alla jusqu'à uriner sur un des trouffions. Elle n'en croyait pas ses yeux, elle le fixa, incrédule, comme elle aurait regardé un singe ou un autre animal de zoo faire quelque chose de particulèrement dégoutant.
Peuh, la populace...c'était dans des instants pareils qu'elle comprenait le mieux les pensées de la CEAM.

Même dans sa propre classe les esprits s'échauffaient et les voix s'élevaient...elle aurait du s'y attednre, toujours les mêmes...
Elle fut toutefois satisfaite de voir que le niveau était très loin de s'abaisser à celui des rebuts de l'autre classe qui avait été parquée là.

Finalement, elle fut sortie de ses considérations quand la professeur des loqueteux révèla la vérité.
...s'entretuer...jusqu'au dernier...
Elle promena un rapide regard autour d'elle. Toute cette bande de délinquants étaint subitement beaucoup plus menaçante, tout comme les élèves sans foi ni loi de sa classe.

"Ce n'est pas possible...c'est illégal...et immoral...nos âmes hanteront ceux qui ont commis ces atrocités, ils doivent bien le savoir..."

Elle avait marmonné, mais elle avait surtout érigé la loi, et la clarté des propos, en mode de vie.
Et quelque chose ne lui semblait pas clair.

"Jusqu'au dernier...nous...nous n'avons donc aucune chance de nous en sortir?"

Demanda-t-elle a la pauvresse, mais sans mépris dans la voix.
Elle n'accorda aucune attention à Miss Hartford, qui semblait bien loin de la réalité. On les avait drogués, malmenés et fouillés, c'était pas pour faire une blague, de ça elle en était certaine.

Elle resta dans l'expectative, beaucoup de choses restant floues pour le moment...

L'empereur de l'obscurité répondit avec un long délai à son amie.

" Non, les nouvelles viennent de tomber" dit-il un peu surpris.
Ses rêves de grandeur allaient peut-être enfin se réaliser aussi murmura t'il de façon à peine audible à l'oreille d'Aya "On se retrouve derrière dès qu'il nous lâchent. "

Sekku n'en croyait pas ses oreilles il allait pouvoir mener sa petite épuration, un frisson de pur plaisir envahit son échine.

* Parfait ! * pensa t'il avec un extase dissimulé.
Les paroles de la prof des miteux étaient on ne peut plus claires : ils devraient s'entretuer, seul un devrait survivre, seul lui devait survivre. Takayama resta silencieux préférant continuer sur la voie qu'il suivait depuis bientôt une heure.

* De toute façon je n'ai pas l'intention de me laisser tuer, je suis la mort, je suis Satan. L'alpha et l'oméga, le seul qui doit survivre, c'est moi ! Je ne crèverai pas comme ces bons à rien, comme ces moutons pèlerins que l'on mène à l'abattoir. * pensa t'il dans un déclic alors que madame Hartford peinait à comprendre s'obstinant toujours plus dans un espoir vain de faire cesser ce jeu.
La Kouhei offrit un divertissement intéressant, Takayama était trop loin pour l'entendre et la classe trop agitée pour lui permettre d'entendre ses murmures mais elle semblait un brin sur le cul.
Il continua à observer les réactions de ses semblables, attendant l'heure fatidique où les loups serraient lâchés.
Ce voyage promettrait d'être mémorable et l’ange noir en avait prît conscience. Un goût de sang envahit ses papilles : il savait déjà que son âme était frappé du sceau du mal absolu mais peu importe, rien ne l’arrêterait dans son obscure croisade, rien.
Son ses yeux balayaient frénétiquement chauqe individu, son ouie était à l'écoute de tout ce qui pouvait se dire.

Takeshi s’était réveillé. Dans cette salle noir, découvrant en même temps que les autres l’étrange collier qu’il portait au cou. Bijou qui à son sens ne présageait rien de bon. Ils les faisaient trop ressembler à des bêtes de foire comme cela. Parcontre, le fait de découvrir que la classes des élites en portaient aussi réussi à lui arracher un léger sourire de satisfaction. Au moins, la situation n’avait pas pour but de ridiculiser ceux que l’ont considérait comme des rebuts. Il se recula contre une vieille armoire. S’adossant contre celle-ci, les mains dans les poches. Chercher Rei et Ken du regard. Qu’il repéra bien vite. Mais il ne bougea pas autant de sa place. De toute façon il se posait beaucoup de questions pour tenir une conversation. Ce qui semblait d’ailleurs être le cas de ses amis. Il était inquiet, seulement il était ce genre de personne qui gardait majoritairement ce qu’il ressentait pour eux. Ne voulant embêter les autres avec de futiles problèmes. Et puis, les professeurs venaient d’arriver dans la salle. Il porta toute son attention sur la sienne. De toute façon l’autre semblait ne rien savoir de ce qui se passait. Il ne dit rien au première paroles de Mikomi. Contrairement à ses camarades, qui commençait a s’énerver contre elle. Ou les militaires qui était entrer juste avant. Il soupira devant l’attitude dégradante de Kao. Trouvant qu’il n’arrangeait aucunement leurs réputations devant ses Élites, pour la plupart prétentieux. Enfin ! Sensai repris la paroles. Elle tournait autours du pot, a son goût. Il ne fit pas très attention lorsque le militaire s’en pris à Ryu qu’elle s’était empresser de protéger. De toute façon la professeur de l’autre classe s’était elle aussi déjà précipité. D’ailleurs, elle semblait bien ignorante quant à la situation. Et puis enfin ! L’autre fini par les informer. Alors que la blonde croyait à une mauvaise blague. Bien que la situation semblait être tout sauf une blague. Après que l’élite se soit exprimé il prit enfin la parole.

_Sensei…Qu’adviendra-t-il du survivant ? Et les corps ?

Il s’était exprimé calmement, poliment. Contrairement à la majorité de ses camarades. Lui, était peut-être chez les rebuts. Seulement il fallait prendre en compte que c’était uniquement parce qu’il voulait profiter de sa jeunesse. Ayant, sinon toute les capacité pour être les élites ! Tout comme son frère. C’est juste que lui, avait décider de reprendre les études un peu plus tard. Sachant très bien, qu’il n’aurait aucun mal à cela. Seul le fait qu’il est été à Dotan'ba Kikai pourrait le freiner ! Mais si il réussissait le concours d’enter en université ! Cela serait très vite oublié ! Et il le réussirait ! Et puis même sans cela ! En tout manipulateur qui se respect il parlait très bien !Enfin passons ! Revenons au présent ! Il lança un regard circulaire à la classe. Attendant la réponse ! Il savait qu’il ne pourrait pas échapper a ce jeux stupide. Alors pour le moment il voulait surtout savoir si son corps serait remit à sa famille si il ne s’en sortait pas ! Oh il comptait bien survivre. Mais il restait réaliste ! Il avait une chance assez minime. Si l’ont considérait le nombre d’élèves. Quoique si il fini par ajouté…

_Comment se déroulera…la tuerie ?

Ayant un certains mal à prononcer les deux derniers mots ! Ayant chercher un thermes qui résumerait la chose, et qui soit en contre parti pas trop cru. Quant à son ton, il était toujours aussi calme et poli. Assez doux même. Changeant un peu des autres de sa classe. Autres, à qui il ne voulait pas faire de mal. Seulement ! Avait-il le choix ?

Bouleversée c'est le mot qu'il l'aurait utilisé pour definir l'etat dans lequel se trouvait Sensai. Il ne l'avait jamais vu comme ca même en classe quand lui et ses camardes étaient insupportable et qu'elle craquait.Comme il semblait loin le temps où il aller au lycée...Sortant de ses pensées par le cri de Sensai,devant lui tout se passa très vite,elle s'interposa entre les militataires très serieux et Kondo qui lui était partis se battre. Mais quelques secondes plus tard Kao se mit à pisser sur le militaire celui ci vexé allait perdre ses moyens et tirer mais Sensai s'interposa encore une fois.

L'acte et le culot de Kao fit sourire Shinji.Qui ne put s'empêcher de rire. Hélas ce sourire il ne le garda pas très longntemps,ien faite il le perdit aussi vite qu'il était venu au moment où Sansai parla de les tuer. Croyant qu'il avait mal entendu il s'avanca plus en avant de la scéne ,quasiment devant les militaires. Ses camarades aussi avait tiltés . Les questions affluait dans sa tête à mesure que Sensai parlait. Les mot jeu et gouvernement que Shinji entendu lui semblait etrangement contraire, a son grand desarois il ne comprenait rien a ce qu'elle disait

*de quelle jeu parlait-elle*se dit Shinji...en tournant la tête pour voir que ses camarades étaient dans le même etat.Même le professeur des élites lui ne semblait rien comprendre. Il parlait tranquillement disant à ses élèves qu'ils devraient être àTokyo.

Mais soudainement l'éppé de Damocles qui se trouvait au dessus de leur tete depuis le début fut lacher ,comprit Shinji. Soudainement elle leurs annonca qu'il devrait s'entre tuer.Un frisson des plus intense parcourut le corps du jeune homme. Shinji comme tout les autres aurait voulu à cette instant ne pas croire ce qu'avait dit leurs proffesseur,preferant croire qu'on se moquait d'eux. Mais l'etat dans lequel se trouvait Sensai et les paroles des militaires acheva tous ses espoirs. D'un seul coup il comprit le sens de tous les mots qu'avait dit precedement Sensai,l'assaillant brusquement se deversant dans sa tête comme la peur qui lui paralysait les membres. Comme la haine enfouit contre le gouvernement depuis bien trop longtemps qui ressurgit en lui et lui permit de bouger.

Tous en criant des injures contre l'armée il cracha un enorme crachat qui alla se scratcher sur la fasse d'un militaire. Hors de lui il allait se jeter sur eux si ils osaient avancer. Du coin de l'oeil il observait les mêmes reactions chez ses camarades: injures crachat ,coup porté. Et la reactions de la prof des elites qui ne comprenait toujours pas ,croyant qu'elle pourrait partir. Shinji lui continuait à s'excitzeer et à injurier les militaires.

Tout en pensant qu'il se trompait,qu'il n'avait pas entendu que c'était un rêve. Non réelement il ne pourrait jamais tuer Takeru où les autres même ce de l'autre classse il se dit qu'il aurait du mal. Et pourtant si il était vraiment en danger et qu'en ne faisant rien,il mourrait il pourrait vraiment devenir sauvage. Mais ce n'était pas le moment de se lamenter ni de penser à ça. Pour l'instant il fallait sortir et vite pour partir loin d'ici...

" C'est pas possible !!!"

Les derniers mots de Sensai furent la goutte d'eau qui fit déborder le vase.
D'autant plus, c'est que même professeur des rebuts, elle n'était pas aussi forte qu'eux tous.
Shinji avait déjà commencer le massacre, débuté lui-même par Kondo et Tento. Il fallait finir le travail...
Rien que de voir sa tête triste et bouleversée, Rei avait envie de lui cracher à la figure.
Grognant lentement, la jeune prostituée s'approche de l'enseignante qui s'était interposée aux militaires:

" Sale chienne !!!"

Les autres étaient boulevérsés et Rei se sentait à peine effleurée par l'ambiance, aveuglée par sa colère. et dans ces moments-là, les paroles des autres lui parvenaient comme autant de mots vides et sans consistance.
Elle attrapa Sensai par le col, la poussant au mur avec violence. Si tout le monde restait incrédule face à) la nouvelle, elle ne laisserait pas faire ! Comme Kao, comme Ryu... s'ils ne faisaient rien, la situation deviendrait vraiment dramatique...
Les élites y mettaient aussi leur grain de sel avec leur institutrice blonde. Il s ne pouvaient pas se la fermer deux minutes ???!
Avec rage, Rei plaqua Sensai au mur, cognant violement la tête de cette dernière contre la surface.

* Ca n'peux pas exister, pas ce genre de loi !!!*

Elle jure plusieurs fois, froidemment, sans lâcher la jeune femme. Tout ce qui leur arrivait était de sa faute, la sienne uniquement !!!
Vu cet air plaintif qu'elle arborait face aux militaires, c'était leur toutou ou un truc du genre, mais c'est vrai qu'on ne peut pas vraiment leur résister, d'autant plus qu'ils ont l'air sans pitié :

* Pas tuer, pas tuer...*

Elle avait réellement envie de la cogner jusqu'au sang, se laissant submerger par le stress de ces derniers moments. Levant son poing, elle s'apprêta à l'écraser sur sa professeur mais sa main trembla, se baissant soudainement :

" C'est pas possible !!!" Répéte-t-elle avec haine

" Putain j'ai un de ses mal de crane moi..."

Shin d'abbord ne prenant pas la situation avec laquelle elle aurait du être prit se rendit après quelques minutes de l'horreur de la chose. Ils devraient donc tous ce tuer dans d'atroce conditions, cela paraissait un peu gros mais c'était la vérité, il n' y avait qu'a regarder le visage de leur sensai pour le deviner. Shin jeta un oeil dans les groupes de l'autre classe, plusieurs étaient dans le même était que la classe de Shin, a part deux ou trois qui avait une sale tête... Cela tournait vraiment au cauchemar. Après s'être appitoyé sur son sort, il se leva et cria en direction de leur sensai, qui avait déjà été brutalisé par Rei, en même temps, c'était compréhensible.

" Non vous vous rendez compte !? Pourquoi vous nous obligez a faire ca bande d'enfoiré ?!"

Shin regarda un a un les militaire, le garçon était peut être quelqu'un de patient, mais il y avait des limites et celle-ci venaient d'être dépassées.

Mikomi Sensai a écrit:

« Vous allez devoir vous entretuer… Jusqu’au dernier. »

-...
...
...
Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahahahahahahahahahaha !

Yoshigawa venait de rire bruyament, une rire qui retentit dans la salle comme l'exploision d'une bombe.

- Hahahahaha ! Sérieux, professeur, à un moment j'ai crû que vous étiez sérieuse... Hahaha ! C'est la meilleure de l'année ! Pffffiou ! Dit donc, j'avait pas rit comme ça depuis que j'était gosse. Bravo, professeur...

Puis, voyant que personne autour de lui ne riait de la blague énormissime de sa professeur, il s'arrêta brusquement.

- Ah... fit-il avec gravité, c'était pas pour rire, alors ? Bon...

Alors c'était donc vrai...

Weil der Meister uns gesandt
Verkünden wir den Untergang

En entendant les paroles crues et graves de son professeur, Yéo avait frissonnée. Sont cœur avait faire un drôle de bond et elle le sentait maintenant raisonner dans ses tempes.

Elle voyait plusieurs élèves se regrouper entre eux, se soutenir les uns les autres, puis il lui revient une pensé

*On ne peut compter que sur soit même*

Elle murmure : Non…non j’ai… j’ai des amis.

Bien que Yeo ne s’était jamais montrée très aimante, mais elle tenait tellement a eux. Elle ressenti beaucoup d’inquiétude quand elle remarqua que ni la petite Maki, ni Ken n’étaient dans son champ de vision. Leur étaient ils arrivé quelques chose ? L’inquiétude se transformait en angoisse, Yeo les cherchait désespérément du regard.

Pourvu qu’ils aillent bien.

Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahahahahahahahahahaha !

Ce cri provenant d’un autre élève lui fit fermer les yeux de douleur.

*Quel imbécile, la tension est déjà assez forte, il faut qu’il en rajoute avec des sauts d’humeur. *

Puis elle se remit en question, chacun montrait son inquiétude d’une façon différente. Elle ne le connaissait pas mais en le regardant naissait déjà une forme de compassion.

*On est bel et bien tous dans le même bateau *

Elle se redresse et continu de parcourir la pièce du regard quand elle entend l’autre professeur crier au scandale, demandant à ses élèves de la suivre.

*Une blague ? Cette prof à l’air bien sur d’elle… défier les militaires, ça n’apportera rien de bon*

Quelques élèves se rassemblaient autour du Sensei révolté, Yeo espérait que ses amis ne la suivraient pas dans sa folie.

Dans la mêlé des élèves, Yeo aperçoit Maki dans les bras de Ken.
D’abord le soulagement de les voir ensemble, elle leur esquisse un sourire puis tante de les rejoindre en traversant difficilement la foule d’élèves révolté, aussi discrètement que possible.

Le choc de la reponse de la prof's de la'autre lycée venue avant celle de mademoiselle Dakota fut tres direct, net et parfaitement dit, ils allaient tous s'entretuer jusqu'aux derniers, un certain sentiments de fierté emplie Akira, ils allaient pouvoir se deployer, oui deployé ses ailes tels un aigles, mais ils aurait voulut faire ça dans un paint-ball, ou concours d'orientation, la nouvelle l'avait bouleverser et en même temps apaisé. Il ne savait pas pourquoi cela l'enjouait, peut-être le fait de l'ironie, cela en fait n'etait qu'un vaste blague, il ricanat dans ses dents, la tête baissée vers le sol. Puis il releva la tête et se mit a éclater de rire, une main sur oeil droit comme si il avait mal, l'autres tenant son sac, Yuneko derriere le fit revenir a la raison. Il stoppa ce rire qui avait du glacer leur sang. Il pencha un peu la tête en arriere, regardant vers saki et pensant " Alea Jacta Est " Il pourrait le rencontrer tout compte fait. Le projet dont son pere s'occupait n'avait rien avoir avec ce petit projet macabre. il sentait ses veine gonflée a bloc, son sang courir a la vitesse d'un leopard dans ses veines, ses yeux s'ouvrir pour mieux voir, il se sentait... fort; Comparée a 80% de la population dans le pays, les 20% restant son des gens qui prennent soin d'eux, Akira en fait partie, il s'entretien tous les jours, bois de l'eau plutot que du coca, mange des pates plutot que ce que son pere dit des frites. Un fruit plutot qu'un biscuit;

" - On recommande a la population de faire 30 minutes d'excercices tous les jours, j'en fait 5heures dans ma salle de gym, on recommande de manger 5 fruit ou legume, j'en mange 5 de chaque, je bois du lait et de l'eau, je mange sain, je suis en pleine forme, je ne sait ce qui se passe en moi, mais je me sent bien. "

Il sortit de son sac un avant bras de cuir que sa mere lui avait payer, il etait signer de plusieurs personnalité, " Rammstein, Kana, Korn, Marylin manson, Prodigy... " et bien d'autres encore, il le mit autour de son avant-bras droit, la signature qui comptait le plus pour lui, c'etait celle de sa mere, en attanchant les 4 sangles de cuir noir il pensa a elle, une larme coula le long de sa joue, il venait de se rendre compte qu'il n'etait pas dans un jeu. Puis se fut un veritable flot, des larmes coulaient, mais pas un sanglot, il se mit a fixer le monde, Kaoru, a qui il n'avait jamais osé declaré sa flamme, Lucy, sa meilleure amie, avec qui il aurait tous fait, quoi que se soi, elle aurait pu lui demander, puis Keisuke un peu plus loin, un amis qui l'avait sauvé un bon nombre de fois a Alpha storm d'un sniper embuscer, c'est aussi avec lui qu'il avait grimper a la N°1 de la ligue nationale dans ce jeu en equipe. Ainsi que d'autres, puis Yuneko, un petite amie d'a peine 1heures, il avait eux des relation courtes, mais cela depassait les 3 jour, ici il ne savait plus comment reagir avec elle, si elle reagissaient mal et se tournait contre lui, ou lui contre elle, il y a de quoi devenir fou dans cette situation. Une fois le tour venut, les reponse aux question arrivée, il s'installa dans sur une table, on aurait dit un autiste, les jambes croisées, les mains croisées, les yeux fermé, inspiré, expiré, il reprenait son calme, mais surtout se rappelait ses situations de combat en " camp de vacances ", ses horribles camp militaires que son pere l'avait obliger a faire, en fait tous ceux-la allait lui servir, mais dans une situation dont il ne voulait pas. Il continuait sa meditation, il ecoutait les bruits lui arrivé aux oreilles, les odeurs aux nez, les vibrations dans son corps, il était installé sur un banc juste a côté de Yuneko, une odeur de cerisier vint l'envahir, il se rappelait de ses meditations sur sa pierre entre ses arbres, il prenait compte a quel point il etait "vieux jeux", en tous cas special, pas a cause de sa tare gentique qui le rend plus sensibles, plus fort, plus endurant, plus foou aussi, non mais de son caractere. En fait il avait envie de pleurer, de s'ecrouler, et mentaleùment c'est ce qu'il fit, dans sa tête il se mit a hurler, a l'exterieur il parraissait calme et serein, mais a l'interieur une effusion de rage, de sang, de colere, et surtout de tristesse coulait et volait comme un volcan en eruption. Il rouvrit les yeux et regardait autour de se leva et dit a ses amis;

" - On se retrouve dehors, chercher un zone tres dense, tel un regroupement de maison, on de hutte, ou de je ne sait quoi, mais qui represente la civilisation. La-bas on fera le chec-point. "

Il fit un rapide clin d'oeil a uneko avant de se lever et de se mettre dos a eux tous, eux qui etaient ses amis... Il etait debout face a sa la prof de quelques metres, son sac mit a dos, et la regardant droit dans les yeux, n'attandant qu'une chose, l'appel de son nom pour lui ddonner des directives, apres, si c'etait un jeux ou il fallait s'entretuer il aurait le droit un briefing...

" Yuneko... Hiromi... Je vais bien mais... Tu as mal au ventre Hiromi ??"

Lucy pose son regard sur la jeune fille avec inquiétude. D'abords l'enseignante des pouilleux qui disait qu'ils devraient tous s'entretuer. Ce qui est absurde voyons !
La jeune lycéenne se sentait plutôt rassurée avec ses deux amies. Elle en vint à penser au timide Negi: allait-il bien ? Puis, suivant cette voie, son esprit se mit à voguer sur d'autres pensées : sa mère a-t-elle mit des bonbons dans son sac ?
Pour résoudre la question, qu'il y ait au moins une avec une réponse, Lucy ramasse son bagage, fouillant dedans pour sortir un paquet de fraises qu'elle avait oublié.
Elle tentait de se détendre du mieux qu'elle pouvait, surtout que Mademoiselle Dakota ne paraissait pas bien stressée par la situation.
Lucy ouvre le paquet, engouffrant entre ses lèvres un bonbon aux fraise, le regard braqué sur la scènje qui se déroulait sous ses yeux: les pouilleux pétaient les plombs, l'un avait fait sa petite comission sur un militaire à terre, un autre crachait sur eux et cette délicieuse Rei avait déjà violement empoignée son institutrice...
Au moins, leur classe sociale est aisément reconnaissable par sa violence.
Lucy passe une main dans ses cheveux blonds, silencieuse. Elle tend son paquet à Yuneko, passant son sac sur son épaule. En effet, elle aussi avait envie de sortir un peu, surtout qu'alors ils devaient partir à Sidney !!! Ce qui la fit encore partir vers d'autres hauteurs : enfermée dans une salle, elle se voyait quand même au bord de la plage.
Les mots de Naoko la raménent à la réalité et elle lève les yeux au ciel :

" On y va mademoiselle ?? Vous venez les filles ???"

On venait de leur annoncer que la jungle allait reprendre ses droits et les yeux de Kazuma s’élargirent tandis qu’il se décollait du mur auquel il était resté adossé jusqu’à présent. Il se tenait droit, les mains pendant le long du corps, les sens en alerte. L’espace d’un instant, il douta des informations que la jeune enseignante venait d’énoncer. Trop intéressant pour être vrai…, pensa-t-il.
Mais après avoir respiré une nouvelle fois l’atmosphère générale qui venait de virer au rouge vif… sanglots-injures-violence-craintes-haine-folie-cris… ça sentait l’instinct, ça sentait la jungle.

Si la vie au cœur de la civilisation avait fait d’Iino Kazuma l’être insensible et discipliné qu’il était, la jungle, elle, avait su enflammer ses entrailles les rares fois où il avait entendu son appel. Et il y avait répondu.

-Vous entretuer…, murmura-t-il pour lui-même.

Kazuma revivait les moments les plus colorés de sa terne existence. Les plus heureux. Ils furent si rares que le jeune maître identifia sur-le-champ l’émotion qu’ils procuraient habituellement. Dorée, ce que les livres définissent comme la joie envahit finalement une nouvelle fois le lycéen. Il ne pouvait y croire, la surprise était si grande qu’il ne réagit pas physiquement. S’il bougeait, Kazuma craignait de faire fuir la sensation. De la crainte à présent ? se demanda-t-il comme s’il venait de fouler le sol de la dernière planète aux confins de l’univers. Mais oui, la possession d’un bien entraîne la crainte de le perdre.

L’œil glacial bougea vers la gauche.
L’instinct. L’instinct était son bien le plus précieux. Il avait dormi trop longtemps. Il était ce qui reliait Kazuma à la jungle impitoyable et moite de son subconscient, là où les fauves rugissent et se débattent pour l’éternité. Là où la maxime « Tuer ou être tué » résonne jour et nuit.
L’œil roula sur la droite.
Toutes ces personnes qui n’attendaient rien de lui et dont il n’attendait rien non plus. Il leur était déjà reconnaissant. Pareil pour le gouvernement.

-Vous tous, merci pour la couleur, dit-il de ses lèvres, merci pour la jungle.
Aucun son n’était sorti.