L'appel

Fille n°25 : NITTA Chiyo - gentille mais condamnée

Volontaire n°1:RYUKESTU Sakki - du sang, de la chair, et du sang!

Volontaire n°2 : Gau - l'enfant-sauvage

[Bon je poste w.w]

Les noms defilait, les gens aussi...De plus en plus inquiète, Aya regarda un peu partout...La presentatrice appellait...Ses amis, ses ennemis...Elle devait tout tuer ?
Non elle ne voulait pas...

Fille n°13 : MISTUKI Aya

Elle ne bougeait pas...Mais son nom retentit dans sa tête. Un Militaire s'aprocha d'elle et lui fit signe avec son arme, d'allez prendre son sac et de partir de la salle. Elle se leva precipitament, en regardant Sekku, larme au yeux, avant d'allez chercher son sac et de partir de la caserne.

Mein Herz Brent !

- - - Rammstein - Mein Herz Brent - - -

Le coeur de Yoshigawa s'enflamma. Le jeu venait de commencer...

Il lui fallait maintenant désigner et séparer ses vrais amis de ceux qui allaient mourrir.

Kao était quelqu'un de digne de confiance, c'est son seul vrai ami. Pas question de l'abandonner comme une vieille merde !

Et Surime, Surime dont la beauté exquise égalait celle d'un ange...
Il devait la protéger...

Le problème, c'est qu'il ne l'avait pas vu depuis le début de la "partie"...

Lorsqu'il se leva, il l'apperçu. Il vit en son visage un regard perdu, comme si elle avait tout perdu... Il décida néanmoins qu'il l'attendrait dehors une fois sorti. Chance pour lui, il fut l'un des premiers à sortir...

- Présent ! brailla t'il avec une force vindicative que seul un gorille mâle en rut aurait pu produire...

Il prit son paquetage d'arme et sorti, le lecteur mp3 toujours en marche, avec en musique de fond la magnifique Spring, de Rammstein, adressant un dernière pensée pour Surime... Il la protègerais, elle et Kao...

Tout les autres devront mourrir !

Enttäusch mich nicht
Spring für mich
Spring ins Licht
Spring

- - - Rammstein - Spring - - -

*Okay, alors, ré-ca-pi-tu-lons...*

Kyoko, qui juste la etait restée silencieuse et surtout bouche bée (enfin, faut dire qu'elle a une excuse, on ne se fait pas embarquer dans un jeu aussi sanglant tous les jours...), commencait (seulement maintenant?) a s'inquieter sérieusement.

Elle avait jusque la tout écouté en silence, sans réagir aux démangaisons du sarcasme qui lui titillait les cordes vocales pratiquement a chaque fois qu'elle entendait quelqu'un parler pour débiter uniquement évidences et fadaises.
Et si elle avait retenu ces pulsions qui, pour elle, etaient a peu près aussi naturelles que le fait meme de respirer, si elle etait allée jusqu'a se retenir de se foutre magistralement de la geule de Takayama et de son foutu discours a la con sur le destin, c'etait parce qu'il lui fallait un peu de temps pour enregistrer ce qu'elle venait d'entendre.

Elle n'avait pas a proprement parler peur. Elle ne ressentait pas non plus de colère au sens propre. Mais plutot de l'incompréhension. De la surprise, meme, a se retrouver dans cet endroit. Elle avait franchement du mal a assimiler le fait que l'on doive tuer sans raison.

* Donc, si j'ai bien compris, on se retrouve tous dans un endroit paumé, avec ces %*µ£P de colliers, pistés et contraints a nous entretuer?!*

Un instant de plus elle resta silencieuse, encore une fois perdue dans ses pensées. L'appel en etait déja a la trèzième ou quatorzième personne.

Puis, finalement, tous les engrenages se mirent en place. Elle se sentait... Bizarre. Elle comprenait tout l'enjeu de la chose. Il lui faudrait tuer. Elle devrait tuer. Elle tuerait. Pour sa propre suvie. L'idée meme de tuer la répugnait au plus haut point. Dans cette mauvaise imitation de jeu, elle ne chercherait jamais a gagner. Seulement a ne pas perdre.

On l'apella. Cela fut, comme un déclic soudain. Lorsqu'elle releva la tete, elle sut. Le jeu avait commencé. La mort s'etait lentement mis en marche derrière elle et derrière tous les autres.
Cela ne l'affecta pas plus que ca... Cela ne la rendit pas triste, cela ne la surpris pas... Au contraire, elle se sentit plus calme que jamais.

Elle se leva ensuite et épousseta avec un soin tout particulier sa tenue, un peu comme si c'etait un moment important et qu'elle voulait faire bonne impression.
Elle alla, sans broncher, bien qu'elle dut pour ca se retenir de hisser bien haut son majeur bien entrainé vers les militaires qui la pressaient, chercher son sac.

Le sourire qu'elle adressa ensuite a l'assemblée fut radieux. Et, la voix pleine d'un espoir étrange, elle s'adressa a tous les participants.

" C'est vrai qu'on va tous mourir... C'est vrai qu'on est tous condamné sauf un... Mais moi je dis que les 49 futurs morts doivent se préparer a crever avec une certaine classe!"

Et c'etait bien ce qu'elle comptait faire. Elle n'allait en aucun cas se laisser prendre par des sentiments inutiles. Elle allait probablement mourrir, mais elle se promit de faire, au moins, une sortie en beauté.

Naoko était restée immobile, toujours au fond de la classe près de ceux vec qui elle trainai d'habitude, plus les inutiles.
Elle était paralysée, statique...elle savait que la plupart des gens de sa classe la considéraient comme une "méchante", mais elle, comment se considérait-elle.

Elle ne savait pas encore comment elle allait se comporter, si elle allait tuer ou non.
Peut-être qu'on ne peut jamais savoir, que jusqu'à une seconde avant de tuer, on ne sait pas si on va le faire.
Bien sur, elle voulait survivre, mais elle se doutait qu'il y en avait qui le voulait encore plus, qui étaient plus forts, plus bestiaux qu'elle, ou qui tout simplement auraient de meilleures armes.
Elle regarda, avec une certaine satisfaction perverse, bien que non voulue, les soldats secouer sans ménagement une Chisuho hébetée et la forcer à partir, sans qu'on sache si elle avait très bien saisi le but du jeu. Puis Aeno partit, et elle lança un regard à Kenzaki...pourrait elle leur faire confiance?
Elle ne savait plus...

Finalement, son nom fut appelé et sans qu'on doive la forcer, elle se dirigea vers l'estrade où elle se saisit d'un sac. Elle eut un regard pour Miss Hartford, toujours complètement à l'ouest, en se disant qu'il leur restait peut être une toute petite chance.

Finalement, elle se tourna vers la classe et, le regard un peu perdu, un pauvre sourire au lèvre, elle murmura un

"Bonne chance..."

avant de sortir de la classe, dans un long couloir sombre, puis l'Inconnu...

(Lucy étant cloîtrée en Normandie, je fais la met dans mon post)
La jeune prostituée observa avec déléctation les élèves sortir un par un de la classe. Quand ce fut le tour de Lucy Nakamura, dont les épaules tremblaient lâchement, celle-ci dévisagea Akira avec une moue suppliante:

"Dehors Akira, hein ???"

Semblant sur le point de fondre en larmes, elle s'éclipsa de la salle, son sac en mains.

A l'appel de son nom, les mains de Rei lâchérent intuitivement Ryu. Elle s'était assez servi de lui pour se protéger de ces militaires, il lui fallait avançer...
La voix de la présentatrice résonnait encore dans sa tête et la prostituée eut un sourire largement cruel en aperçevant Yuna. Oui, la vengeance est toujours une bombe à retardements...
Elle leva sa tête vers Ryu, comme si elle le voyait pour la dernière fois. A cet instant, elle se sentait remplise d'un sérieux mélange de sentiments: la crainte, la peur, la méfiance... Tout cela resterait en elle un bon moment, mais surtout elle voyait, au moment où elle allait peut-être le perdre, à quel point elle tenait au jeune homme. Pour son bien à elle, avant le sien, il devait survivre.
Elle pensa aussi à tous ceux de sa classe qui l'avaient accueillie avec un sourire et aussi aux éléves devenus ses ennemis. Ses amis, elle se promit dans un premier temps de ne pas les toucher: Akio, si mignon dans son imbécilité; Takeru, l'homme avec qui elle a vécu des moments de complicité; Shinji, son client; Zak; Kao; Shin et Ken. Mais pour ses ennemis, il en serait autrement...
Ils méritaient de mourir, de crever sous les ponts comme des rats...
Et Rei ne fera pas d'exception...

"Ryu... On s'retrouv'ra d'vant la ligne d'arrivée.... Alors n'créve pas jusqu'à là..."

Elle n'était pas naïve au point de se dire que plusieurs élèves survivront. Seul un fera l'affaire, ils l'ont trop de fois répèté.
Ce dont elle était sûre, c'est qu'elle laissera les autres "tueurs" faire l'affaire de ses amis. Elle ne voulait pas de boulet dans les pattes. Seuls les forts devaient être invités à cette "party":

"Présente !" Cria-t-elle charmeusement, cherchant du regard ses ennemis

Elle espérait avoir un couteau comme arme... Ou une dague, bien effillée. Bien évidemment, elle ne prenait pas chacun de ses déxirs pour la réalité, s'avançant d'une manière séductrice vers les militaires. Elle saisit son sac, un affreux sac kaki qui allait mal avec ses vêtements de cuir. Elle le soupesa d'une façon bréve avant de se retourner vers la classe et de se fendre d'un sourire glaçial :
" Z'allez 'voir mal !"

Elle secoue sa courte chevelure noire et fait demi-tour, se rendant à la porte. Elle passa l'encâdrement et sortit dans ...

L’appel commença très vite et Kazuma observa le départ des premiers élèves, plus ou moins enthousiastes. Le match venait d’être lancé et il s’annonçait très mouvementé de part son enjeu et la diversité des joueurs. Le plus amusant dans tout cela, c’était de voir que le hasard allait déterminer leur équipement. Kazuma se demanda s’il serait chanceux.

Son nom résonna à son tour, parmi les premiers.

Le jeune homme se leva de sa chaise et dépoussiéra son uniforme noir. Il traversa la salle dans la quiétude. Peut-être certains crurent-ils apercevoir un spectre sortir de l’ombre de la pièce. On oubliait aisément la présence de Kazuma. En passant à travers ses camarades, il pouvait sentir la tension, l’incompréhension, la crainte, la malice… Toutes ces nouvelles émotions qui venaient de s’abattre sur eux depuis quelques minutes déjà. Il remarqua une Lucy affolée et une Kaoru plus que préoccupée. Une part de lui s’étonna de découvrir cette facette des deux seules personnes de la classe qu’il avait pu côtoyer. Mais tous les autres aussi semblaient sur le point de dévoiler leur nouveau visage, de façon excessive pour certains. Kazuma remarqua avec intérêt qu’il n’y avait rien de bien surprenant dans ces changements.

Il s’approcha des soldats et s’arrêta lentement.

-Présent.

On lui envoya sèchement son sac, qu’il retint et enserra de ses deux mains, comme s’il éprouvait de l’affection.

Quel pion de l’échiquier venait-on de lui remettre dans ce paquet surprise ? Ce facteur de hasard le fascinait. Il inclina la tête.

-Merci.

La boule d’électricité se faisant de plus en plus intense en lui, Kazuma pivota et franchit la porte calmement, en jetant un regard glacial en coin aux élèves attendant d’être appelés. Cette froideur venait sans doute du détachement total qu’exprimait son visage. Le garçon n°5 venait d’être lâché dans la nature.

La vidéo à propement parler était enfin terminé. La description de l'île et tous les renseignment sur le "jeu" étaient fini. Mais tous n'étais pas terminé. Shinji bouillait d'impatience,non pas de l'envie de prendre par au jeu. Mais il en avait marre d'attendre et l'angoisse atteignait un tel stade qu'il croyait qu'il allait explosé. Au lieu de s'asseoir et de garder son calme il resta debout poing serré en attendant la suite. La presentatrice de la vidéo reprit la parole.

Le jeu commencait,elle allait les appeler un à un et à l'appel de leur nom il devrait prendre p le sac contenant son arme ainsi que les vivres et sortir.Shinji était perdu il regarda Takeru et puis Rei et puis Sumire pour savoir dans leurs regard si ils étaient dans le même etat que lui.

Déjà l'appel commencait,comme dans les films sa vie defila devant ses yeux les moments tristes comme les heureux. Il ne savait pas quoi faire le doute semparait de lui,d'une minute à l'autre la presentatrice allait l'appelé,il fallait qu'il se decide. Sa main s'aggripa à son collier et il sut qu'il devrait jouer le jeu. Il se dit qu'après l'appel de son nom il ne partiré pas en courant mais se cacherer pour guetter la sortit de ses amis, pour prendre des decisions avec eux.Il accorda une dernière pour sa pauvre mère qu'il ne reverait surement pas. Si il la reverrait il ferait tous pour gagner,pour elle.

"Shinji Saeba..." Maintenant il y était pour de bon dans ce foutu jeu. Lentement Shinji regarda autour de lui croisant le regard des derniers élèves present dans la salle. Alors il avanca lentement toujours,sans un mot, respira un grand coup pour se motiver. Enuite il attrapa au vol le sac que lui jetta un militaire et puis, il partit en acclrant le pas regardant droit devant lui refoulant l'envie de tous arrêter qui lui compressait la poitrine comme jamais. Shinji se dit que desormais il ne fallait plus reflechir c'était fini.

Pitié ,pardon enemies,amis plus rien ne devait exister il fallait prendre sur soit. Prendre sur soit pour ne pas sombrer dans la panique et l'affolement , ne penser à rien pour mettre toutes ses chances de son côté. Pour survivre,om ammait devoir se battre et faire Dieu c'est quoi mais il le ferait,pour survivre.

Pendant un bon moment le film défilait en expliquant les détails de ce jeu insensé. Une fois cet enregistrement terminé…oui elle était belle et bien fini. Kenzaki trouvait que la femme qui parlait sur la vidéo parlait de la mort comme ci on parlait d’un jeu vidéo à un ami. Kenzaki voulait montrer toujours la sérénité donc il mit des écouteurs dans les oreilles pendant un bon moment comme ci il n’avait jamais écouté de la musique. Il ferme les yeux et ce laissait bercé par la musique. Il avait baissé un peu le son pour entendre les paroles des professeurs.

Une fois la vidéo finit, l’appel allait commencer. Ken avait entendus le mot appelle, tout à coup il ouvrit ses paupières légèrement en attendant son prénom…Il vit Yuneko partir sans même ce retourné. Kenzaki commençait à comprendre qu’il fallait qu’il prenne cette histoire au sérieux. Il arrête complètement son mp3 et regardait les militaires d’un air assez menaçant. Avant que Yuneko sorte, il voulait tellement lui dire de l’attendre dans un coin, mais elle n’avait pas eu le temps de ce retourné. Kenzaki commençait à sérieusement ce crispé et pensé en ce disant pourquoi cette loi est apparut et surtout pour qu’elle raison. Il était triste de son sort et triste du sort de la prochaine classe qui allait passer après eux.

- Garçon n°24 : MATSUDA Kenzaki

Ken restait un moment sur place. Il avance sans ce retourné de peur de laissé une larme coulé…et oui Kenzaki pouvait aussi pleurer dans des moments difficiles comme celui là, il était difficile de quitté ses amis et quand on c’est qu’on les reverra probablement jamais plus. C’était vraiment dur cette étape. Ken prit son arme et avant de quitté la pièce, il fit une salutation comme les militaires, puis sortit en marchant, mais assez rapidement, car il devait comme même ce cacher…

Apres ce bref enlacement de kaoru, Akira put voir le regard de Yuneko, la pauvre, si seulement elle savait que cela n'etait rien de plus qu'une etreinte amicale, en tous cas pour Akira, même si il l'aimait, il etait le garcon le plus fidele qui soi au monde, ce ne fut que quand son nom retentit que son sang se glaça;

" Ca y est, le sang va couler, mes amis et vont peut-être s'entrtuer, peut-être me tuer, avant tous, retrouver Yuneko et Lucy-luce..."
Il regarda le reste des ses amis encore present, se dirigea vers le lieutenant qui donnait les sacs, il le regarda et lui dit entre ses dents que si il le trouvait sur l'îles il le dezinguerait, un sueur froides avait couler le long de son front, il savait deja de quoi Akira etait capable. Il verifia ses vivres et son armes, il saurait quoi en faire. Il prit son sac, retira son brassardnoir en cuir ou etait inscrit la signature de sa mere et le lança a Lucy-luce;

" -Tu me le rendra quand on se verra, allez grosse bize, il faut que je retrouve Yuneko, a plus tard... "

Ce fut d'un pas resolu qu'il se dirigea vers la sortie, le sac sur son epaule tenu par sa main gauche, le sien sur le dos, le regard vif et meurtrier, il sortait pour retrouver Yuneko, mais aussi pour tuer tout ennemi se mettant en travers de son chemin, il comptait bien survivre jusque la fin avec Yuneko, et pour le resultat du seul survivant, il verra bien comment son esprit aura evoluer, si il n'aura pas crauqer...

Alors qu'elle s'était effondrée au sol, complètement anéantit réalisant qu'elle allait sûrement mourir , elle laissa ses larmes couler silencieusement sur ses joues , lorsqu' Akio vint à son "secours".
Son coeur se serra en le voyant et peu être pour la première fois elle ne rougit pas en regardant son beau visage.

Il avait posé ses mains sur les os de ses épaules, et de sa voix enfantine mais si agréable il la réconfortait, lui demandant de ne pas pleurer ,ce qui la fit redoubler de sanglot...avait il compris qu'ils allaient mourir ?

Les noms défilèrent...beaucoup de jeunes qu'elle ne connaissait pas durent partir ... avant de quitter la salle on leur envoyé un sac , puis chacun faisaient un dernier signe , disaient une dernière phrases , un dernier conseil...et sous les cris des militaires ils se hâtaient ensuite dans le petit couloir qui menait vers l'inconnu.

Maki était restée au sol, refusant de se lever bien que Akio insiste gentimment quand Soudain



Elle sursauta....c'était son tour...se levant cette fois ci, acceptant l'aide de ses amis , elle leur lança un regard remplit de larmes....Elle était la première à partir de leur groupe...enfin pour l'instant il y avait que 7 personnes de sa classe qui étaient parti, comme Rei et Ichiko..ses deux ennemies !

Elle avait peur et tremblait malgré elle...
Elle serra rapidement Yeo dans ses bras , enfouit sa tête dans le torse de Ken , puis s'arrêtant devant AKio ,elle le regarda un instant les yeux brillants de larmes et audacieuse , elle déposa un rapide baiser sur sa joue , avant de se diriger vers la sortie.

-AKANASHI ! BOUGE TOI !

Le militaire qui cria son nom, lui envoya un sac en pleine face, ce qui la fit tomber :

-Itaïïï

Massant ses genoux douloureux où apparaissait déjà des bleues, elle se releva avec peine et soulevant ce sac bien trop lourd de ses bras sans muscles, elle lança un dernier regard à Mikomi-sensei qu’elle aimait beaucoup au fond elle,et lui souriant alors courageusement elle dit d'une voix faible:

-Ce n'est pas de votre faute !

-DEHORS !!!

Le militaire la poussa violement dans le couloir, manquant à nouveau de la faire tomber, la privant ainsi de revoir juste pour une dernière fois ses amis...

Depuis qu'il était arrivé dans cette salle de classe, Tamon était resté anormalement calme et discret. Il avait observé tout ce qu'il pouvait observé du coin ou il était assis sur le sol. Il avait réalisé qu'il y avait des gens qu'il ne connaissait pas.. du moins qu'il ne se rappellait pas connaitre. Les gens de sa classe réagissaient différement, certains petaient les plombs, d'autres étaient comme lui. Mais pour la plupart, ils étaient tous impatient de sortir de la. C'est vrai que la chaleur était étouffante avec toutes ces personnes.. Tamon était resté dans un coin sombre et personne n'était venu le déranger.

Puis la salle s'illumina et les professeurs débarquerent entourés de leurs gardes du corps. Mikomi-sensei semblait troublée, ainsi que l'autre professeur au physique tres avantageux. Il entendait par la qu'elle n'était pas asiatique et que c'était la premiere fois qu'il en voyait en vrai. Du moins dans ses souvenirs. Contrairement a la plupart, encore une fois, il n'avait rien dit. Il attendait que les réponses aux questions des autres, et par conséquent aux siennes, arrivent a ses oreilles.

C'est alors qu'il apprit qu'ils allaient tous s'entretuer jusqu'au dernier, et qu'un seul allait survivre.. il pensa d'abbord a une blague, un jeu. Mais il réalisa vite que non, c'était bien réel! Il allait mourir, ou ses amis -du moins ses camarades- allaient mourir. Pour lui, ca revenait a peu pres au meme. Mais il ne laissaira pas les autres tuer ses amis tant qu'il sera encore vivant!

A l'appel des noms, il vit les éleves partir un a un.. garcon, fille, garcon, fille, chacun aillant un numéro. A croire qu'ils étaient que des pions dans un jeu.. c'était un peu le but de la loi Battle Royale. Il vit tout le monde passer.. il ne pouvait pas nier que certains noms lui disait quelque chose.. il ne pouvait pas non plus nier que certains visages revenaient dans sa mémoire, mais tout était encore bien trop flou..

- Garcon n°25 ~ Tamon Niwa

Il était dans les dernier, il ne restait presque plus personne dans la salle apart lui et quelques éleves. Alors il ne prit pas vraiment la peine de dire quelque chose ou de saluer. Il salua seulement les deux professeurs, qui semblait etre un peu de leurs cotés..

*Mlle.. da..da..ko.. Dakota.. mais oui, c'est ca!*

- Mlle Dakota..

Mais toute communication avec les professeurs étaient interdites apres le temps limité alors Tamon se fit jeter dehors par le meme militaire qui avait poussé précédement Maki.. Il prit le sac qui contenait son arme et traversa le couloir en faisant attention a se faire discret..

Pourquoi s'était-il souvenu du professeur au physique non asiatique. Il était sur de l'avoir déja rencontré.. déja eu.. comme professeur.. mais c'était impossible, comme elle l'avait déja dit, c'était le professeur des élitistes et lui, il n'arrivait meme pas a atteindre la moyenne. Et elle, se souvenait-elle de lui?

Hiromi avait décidée de ne plus lâcher Lucy, sa présence était beaucoup trop précieuse à ses yeux, et ce jeu, bien qu'elle ne le montrait pas, la terrifiait...
Elle se demandait ce qu'ils allaient bien pouvoir faire, ils étaient perdus, tous...sauf une personne, celle qui aura la "chance" de s'en sortir de ce jeune barbare.

C'est alors qu'elle se rendit compte que Kenzaki se trouvait derrière elle et qu'il venait de lui glisser des mots, rassurants, certes, mais pas assez pour Hiromi. Elle tourna vivement la tête vers lui, son regard était comme pour tous, dédaigneux...même envers Kenzaki qu'elle aimait profondément, un ami précieux.
Il voulait à tout prix accrocher un sourire sur son visage, c’est qu’il avait de l’espoir ; depuis un bon moment maintenant elle ne souriait plus, elle ne riait plus, les seules expressions qu’elle pouvait faire c’était celles de la fille mécontente, de la fille qui détestait tout le monde, celle qui n’en avait rien à faire des autres…
Mais elle connaissait bien Kenzaki, elle savait qu’il n’allait pas abandonner, comment pouvait-on être de la sorte ? Elle en était presque choquée…Il ne déciderait donc pas de la lâcher...
Alors elle acquiessa, et tourna à nouveau sa tête...

A présent le "jeu" allait commencer, ils allaient -un à un- être appelés, ils devront sortir et commencer à appliquer les règles...
N°1, n°2, n°3...Les élèves sortaient, et au fur et à mesure les battements du coeur d'Hiromi augmentaient, elle en avait presque mal au ventre...
Et n°5..Lucy, elle allait s'en aller...
Hiromi détacha la main de son amie, le coeur gros, elle se morda les lèvres, elle avait envie de pleurer, mais elle n'était pas faible, non, alors elle ne montrerait rien de ces sentiments.

Puis les autres numéros...Et la fille n°18...

"Fille n°18, KIIDE Hiromi"

Hiromi leva haut la tête, l'air fière, l'air méprisant, elle jeta un regard dédaigneux à chaque personne de sa classe et s'avança d'un pas assuré vers la sortie, avant de prendre son sac...
Mais elle ne fit pas le dernier pas, elle tourna la tête vers Kenzaki, puis son regard se baissa, elle aurait voulu lui dire "pardon", mais pour quoi ?
Alors elle le fusilla du regard, n'arrivera-t-elle jamais à lui montrer ne serait-ce qu'un peu d'affection ?
Et elle partit, le sac tenu fermement dans sa main, la jeune Kiide s'avançait dans ce couloir, et au bout la sortie...Ils étaient condamnés à présent.

Yukie avait enfin compris ce qu'il se passait! Enfin elle se reveillait, enfin le fil rouge qui lui servait de bracelet semblait avoir disparu de son Esprit! Enfin les roses de luxe qui arpentaient ses cheuveux n'étaient devenu que de simple rose qui se vendait a pris d'or...

Pour la premiere fois de sa vie, Yukie manifestait physiquement sa peur, les larmes avait couler avec le rimel, et ses tremblement etait si fort qu'elle en aurait pu battre des oeufs en neiges


Alors...il s'agissait d'un jeux, comment allait elle...oui...il faudrai bien sur tuer les lambda qu'ils étaient tousm! avec un peu de chance elle aurait une belle arme...peut etre une bombe pourquoi pas...et avec les indemnité du gouvernement elle serait encore plus riche



*Je vais survivre*

La vidéo terrifia Sumire. Tout était expliqué comme si s'entre tuer était une espèce de... jeu. Un jeu où il n'y aurait qu'un seul vainqueur. Uniquement un, aucun autre. La jeune lycéenne, troublée et effrayée, balaya la pensée qu'elle eut quelques minutes avant.

* Je ne dois pas me laisser aller... Il doit y avoir forcément un moyen... *

C'est alors que la présentatrice annonça le nom du premier élève. Le voyant se lever, un frisson parcourut la jeune fille, qui désirait plus que tout se retrouver dans les bras de son cher et tendre Foyumi. Ce dernier fut appelé quelques noms après. Le coeur de la jeune fille s'emballa, elle lança un regard inquiet au jeune homme qui se levait, la regardait et comme toujours un courant électrique passa entre eux. Sumire se promit de le rejoindre dès qu'elle serait sortie... Elle devait être parmis ceux qu'elle aimait... Ses pensées allèrent vers Zack, qui était déjà dehors. Son poul s'accelera, et la jeune fille regarda Shinji qui semblait aussi effrayé qu'elle.

" Fille n°17: Sumire Yamada... "

* Oh non... *

Les jambes flageolantes, elle se leva, attrapa le sac qu'on lui tendait, et parti en courant rejoindre Foyumi...

[HJ: nyah vive les cybers caffés <3]

Akeno entendit son nom précédé d’un numéro. Le fait qu’il soit placé au milieu de la foule d’idiots, qu’il soit un numéro parmi les autres lui fit serrer la mâchoire. On le prenait pour un de ces moutons qu’on envoyait à l’abattoir en énumérant son numéro de série. Il avança posément en braquant son regard noir sur le militaire qui venait de hurler son nom pour qu’il se dépêche mais n’accéléra pas le pas. Son regard était plein de défiance et il décida à cet instant qu’il ne se laisserait pas submerger par ce flot de brebis bêlantes. Il allait se sortir d’ici, même s’il devait pour cela tuer.

Le contact du sac sur son torse le sortit quelque peu de sa torpeur. Il se retourna vers ceux de la CEAM et ce seul regard suffisait pour leur montrer ses intentions. Sa rage de vaincre la vie ne l’avait pas quitté. Il sortit du même pas assuré mais plus rapide de la caserne.