L'appel

Mai était restée silencieuse depuis le départ, elle ne comprenait plus rien, mais surtout elle était trop occupée à nettoyer un pupitre qui se trouvait juste devant elle, à croire que c'était fait exprès ! Mais un peu de poussière et plus rien n'allait ! Alors elle avait sortit un mouchoir blanc de sa poche et s'était mit à nettoyer.

Mais elle voyait que les élèves partaient un à un, ses amis la quittait, Mai regardait tout le monde d'un air étonné, jusqu'à ce que Rei et Shin partent, Kao, Chiyo...Que se passait-il ?
C'est alors que Ma- se rappela, les colliers, les 4 jours, l'arme...Le jeu Battle Royale.

-Oh...Mai aussi doit participer ?

Apparemment c'était une question qui s'adressait à elle seule, bien sûr qu'elle allait participer ! Malheureusemet...
Sur le coup elle ne comprenait toujours pas trop, pourquoi un tel jeu ? C'était idiot ! Mai se mit à rire en pensant à cela.

C'est alors que la salle commençait à se vider, Mai-chan regardait encore autour d'elle, il y avait d'autres élèves, elle venait tout juste de le remarquer, elle ne s'intéressa pas vraiment à eux, elle s'en fichait.

Alors en attendant de se faire appeler MaiMai se mit à chantonner, après tout pourquoi pas, ça lui faisait passer le temps !
Mais tout à coup...

-Fille n°26, Arihara Mai !

Mai leva son bras et fit un petit signe de main, enfin elle le rebaissa et regarda autour d'elle, et en pointant ses index vers elle, et d'un air méprisant, elle fit en souriant:

-Elle est là !

Ensuite elle remit parfaitement ses lunettes sur son petit nez et avança en prenant son sac à la main, et s'approcha du garde pour attraper son sac, mais elle s'arrête devant lui pour regarder son uniforme, et comme il n'y avait aucune imperfection, elle fit un signe de tête et sortit...En avant pour la chasse ! (è_é)

A l'appel de son nom, Aïko leva ses yeux d'enfant fatiguée vers son professeur. A cet instant elle ne ressentit aucune rancoeur et aucune colère, juste de la pitié.

Vous allez tous devoir vous entre-tuer...

"?", avait répondu Aïko en penchant légérement la tête sur le côtè.
"Vraiment ? Pas plus que d'habitude", avait-elle pensé ensuite.

Dans la vraie vie, on a sans cesse l'ocassion de tuer. Seulement on ne le fait pas par bon sens et par crainte des conséquences. Mais sinon, techniquement, on peut. Cette fois-ci, on a l'autorisation, le temps, des armes, on est enfermés...et... C'est pitoyable...

Aïko n'envisageait même pas une seule seconde être concernée, puis quand elle avait entendu son nom elle reçut comme un électrochoc.
Moi ? Impossible, je ne suis pas là, je suis dans mon château. Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de Usagi n°9-sama ! Je suis la princesse, je ne peux pas rater ça !

Au bout de quelques secondes, voyant qu'elle ne réagit pas, le garde qui tenait son sac s'éclaircit la gorge de manière menacante. Le regard de la jeune fille tomba sur la mitraillette d'un autre garde et elle se décida à prendre son sac de "jeu". Elle se dirigea vers lui d'un pas léger et chancelant. Il lui balança violemment le sac. Aïko était terrorisée par le regard fourbe et malsain de cet homme au visage dur. Elle se sentit agréssée. Une peur incomensurable la saisit par la gorge. Cette angoisse de se sentir soumise à un homme adulte repoussant et mal rasé.... Elle s'enfuit aussi vite qu'elle put.

Dehors, le vent nocturne vint lui fouetter le visage et secher ses larmes. Les grands yeux effrayés d'Aïko se clorent à l'appel de la nuit. Un hululement lointin l'appaisa bien qu'il put paraitre lugubre. A cet instant, les pensées de la june filles s'embrouillés dans son cerveau : il y avait des lapins roses et noirs, des quadragénaires ivres morts, des visages en colères ou souriants de lycéens dont elle reconnut certains de sa classe, des cadavres, des fleurs, du sang se déversant à flots sur ses pieds, un sourire vicieux et pervers se coller dans son cou... Des images, et surtout des souvenirs... Soudain, tout s'arrêta, sur un beau visage, des yeux charmeur, une odeur réconfortante qui vous donne l'impréssion d'être protégée de tout. Un nom...

"Kairi, où es-tu en ce moment ?",

Nombre de messages : 3 Age : 37 Date d'inscription : 31/07/2007

Jun avait suivi de loin la confrontation avec les professeurs. Assise dans un coin sombre, seule, elle n'avait qu'une hate, sortir de cette pièce au plus vite. Agoraphobe à souhaits, elle ne supportait pas la foule, et estimait qu'il y avait un peu trop de monde pour elle par ici. D'autant plus que les autres ékèves avaient cédé à la panique et à l'agitation.

Elle n'avait pas spécialement peur de ce qui l'attendait dehors, affichant même une certaine sérénité mal placée dans cette situation, sur son visage pale.
Elle eut l'impression que l'appel durait des heures. Ironie du sort, ceux qui auraient tout donné pour ne pas sortir avaient été apellés en premier, et elle qui n'en pouvait plus poiretait depuis de longues minutes.

Elle finit par se demander si on n'avait pas oublié son nom. Elle vit son amie Rinko quitter les lieux, puis, elle fut la prochaine fille apellée.

" Fille n* 24 "

Elle se leva calmement, se dirigea vers les militaires et les profs. Elle attrpa le sac qu'on lui tendait, franchit la porte et s'enfonça dans les ténéèbres d ela nuit.

>>> je sais pas ou encore, lol

Nombre de messages : 44 Date d'inscription : 04/06/2007

[HJ : Désolé de poster si tardivement mais j'étais très occupé avec mon travail ^^']

Hisao n'en avait pas cru ses oreilles !
La Battle Royale ? Lui et toute sa classe devait participer à ce jeu de dément ?
Il fallait s'entretuer tout simplement et pour cela tous les coups étaient permis. S'entretuer ?! Bon sang, Hisao n'avait absolument pas l'intention de tuer qui que se soit, et ce même s'il se trouvait dans sa classe des personnes qu'il n'appréciait guère.

S'entretuer ?
Mais dans quel but ? Quelle logique de malade mental avait encore germée dans l'esprit des dirigieants de ce pays en pleine déliquescence qu'était devenu le Japon ?

S'entretuer. Ce mot implacable résonnait sans cesse dans la tête de Hisao.
Non ! Il ne tuerai personne ! Sa décision fut prise en un quart de seconde.
Pas question de participer à ce jeu de massacre. Pas question d'abattre froidement les autres élèves de sa classe. Pas question non plus de faire de même avec ceux de l'autre classe qui se retrouvait dans le même piège.
Hisao ne tuerai personne. Il serai plus malin que ces maudits militaires à la solde du gouvernement. Il trouverai un moyen de partir de cette île.

Ses pensées allèrent soudainement à Chiyo Nitta.
Chiyo qui était pour ainsi dire sa seule amie dans toute cette foutue école et foutue vie.

"Garçon n°13 : MIYAWA Hisao !"

En plus ces crétins n'étaient même pas fichus de prononcer correctement son nom.
Hisao s'avança lentement du traditionnel pas nonchalent qui le caractérisait si bien. Il s'approcha des militaires et se saisit du sac qui lui avait été aloué.

"Mon nom est Mikawa et pas Miyawa." se contenta t'il de dire avant de disparaître par l'ouverture de la porte.
Dès qu'il fut dans le couloir, il courut le plus vite qu'il put pour sortir de cet endroit qui lui flanquait la chair de poule.
Une fois à l'extérieur, il stoppa net et tenta de reprendre ses esprits.
Que faire d'abord ? Où aller ?...
Chiyo !... Oui, retrouver Chiyo !

Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 29/05/2007

Le jeu qui leur était proposé partait d'un concept loin de déplaire à Kazuki Miyamoto. Souriant en conservant sa magnificience et sa majesté dans la démarche, il prit le sac qu'on lui tendit et prit la porte.

Il ne savait pas où il allait se rendre, mais il comptait bien s'amuser un peu avec la proposition du gouvernement japonais, pour une fois moins ahuri que d'habitude.

Nombre de messages : 50 Date d'inscription : 04/06/2007

Gau avait mis du temps à comprendre ce que voulait la fille dans la télévision. "Entre-tuer"... Il avait déjà entendu ce mot mais avait du mal à se rappeller où...

Soudain, alors que la femme l'appelait et que l'odeur de la peur montait dans la salle, la mémoire lui revint. Les combats à mort... C'était là qu'il devait "s'entre-tuer" avec d'autres hommes...

Il prit son sac avec curiosité et suivit le chemin qu'on lui indiquait.

[HJ : Désolé pour le service minimum, les jeunes, mais vu que je vais pas pouvoir jouer bien longtemps, je ne pense pas durer... Ravi de vous revoir Smile

]

Admin Nombre de messages : 123 Date d'inscription : 21/05/2007

Fille n 28: KENSEI Sayuri - une belle garce

Nombre de messages : 18 Age : 35 Date d'inscription : 12/08/2007

Une désagréable sensation de froid ramena lentement Sayuri à la réalité. Elle entrouvrit les yeux mais se ravisa immédiatement, aveuglée par une lumière pourtant peu agressive que diffusait les néons du plafond, il faudrait y aller plus progressivement. Elle était allongée sur le dos, à même un sol qui lui paraissait des plus glacé et c’était bien la seule chose dont elle était sure. Avec difficulté elle se retourna, puis se redressa légèrement. La jeune femme leva lentement une main qu’elle apporta près de son visage afin de protéger ses yeux et ce n’est qu’alors qu’elle les ouvrit. Sa vision était encore trouble cependant elle parvenait tout de même à distinguer les murs blancs de la pièce. Mais où avait-elle donc atterrit ? Son mal de crâne qui allait en grandissant depuis son réveil l’empêchait de réfléchir sérieusement à la question et d’ailleurs elle était encore trop abrutie par les drogues qu’on lui avait administré pour s’offusquer de ce fait. Elle devait se rendre à l’évidence : s’inquiéter du « comment » et du « pourquoi » était actuellement inutile et vain. Ses membres aussi ankylosés transformaient le moindre mouvement en une pénible épreuve, se tenir debout était par conséquent hors de question pour le moment. En bref, elle était complètement lessivée et luta pour ne pas céder à son irrésistible envie de se rendormir qui persistait avec ténacité, aussi inconfortable et inquiétante que soit sa situation…

Ce n’est que quelques longues minutes plus tard que la jeune femme reprit réellement conscience à la fois d‘elle-même et des autres élèves l‘entourant. Elle ignorait quel produit avait bien pu la mettre dans un état si lamentable, une sorte de drogue probablement. L’esprit plus clair et son corps moins engourdit, elle détailla les lieux dans l’espoir de repérer un quelconque signe familier. Mais rien… il était clair que la lycéenne n‘avait jamais mis les pieds en ces lieux. Toujours silencieuse, son attention se porta alors sur un détail qui se révèlerait crucial dans le futur mais qu’elle n’avait pourtant pas remarqué jusqu’à présent. Une sorte de collier métallique au contact froid cerclait son cou et irritait sa peau diaphane par la même occasion. Agacée par cet accessoire qu’elle trouvait du plus mauvais goût, elle se mit à le tirailler légèrement puis à chercher du bout des doigts une éventuelle attache au niveau de sa nuque lui permettant de l’ôter dans les plus brefs délais. Bien évidemment comme elle s’en doutait ses tentatives se révélèrent infructueuses, ça aurait été naturellement trop simple. Un rapide regard circulaire lui confirma ses premières mais piètres observations: elle se trouvait bien au milieu d’élèves de sa classe néanmoins d’autres adolescents occupaient aussi la petite salle confinée. Un brouhaha commença à résonner péniblement entre les murs de la pièce, montant en crescendo ainsi que son début de migraine. Ce capharnaüm était composé des propres théories et craintes que chacun exposait à son plus grand énervement. Ils allaient la rendre dingue s’ils ne se taisaient pas enfin car, après tout, de tout temps il avait toujours mieux valu un qui savait que dix qui cherchent, non ? Toutes ces discussions ne pouvaient qu’être infertiles. Néanmoins Sayuri ne tenait pas compte de l’aspect libérateur et rassurant qu’avait la parole dans des situations analogues quand elle portait intérieurement ce jugement. Adossée nonchalamment contre un mur elle laissa ainsi les minutes défiler, imperturbable, gonflée d‘orgueil.

Puis tout s’accéléra, des militaires peu engageants déboulèrent dans la salle, encadrant un de ses professeurs et une autre personne qu’elle jugeait être de la même profession. Alerte, la japonaise ne perdit pas une miette de ce qui suivit, des échanges, de la vidéo, elle enregistra tout dans son esprit, restant encore et toujours en retrait, tous les sens en éveil. Cette fois elle fut plus indulgente envers les réactions de ses camarades. Qui n’aurait pas été bouleversé en apprenant de telles choses ? C’était d’ailleurs tellement hallucinait qu’elle crut pendant un moment à un canular. Cependant elle écarta rapidement cette hypothèse, de mémoire on avait jamais utilisé de drogues pour piéger les victimes d’une caméra cachée, c‘était à l‘encontre de la législation. Ou bien il s’agissait d’un projet scientifique et plus précisément d’une étude psychologique des comportements humains ? Finalement le problème n’était pas là, la question cruciale à laquelle elle devait trouver une réponse était la suivante: était-ce de vrais armes qu’on allait leur distribuer ? L’évidence lui sauta brusquement aux yeux: c’était plus que certain et il fallait qu‘elle arrête nier la triste vérité qu‘on venait de leur apprendre. Les traits de son doux visage devinrent alors plus durs et ses muscles se raidirent. Elle n’irradiait plus la fierté et la désinvolture, oh non… de tout son être suintait une colère vive mêlée à une amertume acide. Pourquoi ? Pourquoi elle, élite du Japon, devait-elle avec sa classe subir un tel sort ? N’étaient-ils pas l’avenir de ce pays ? Sayuri rumina ces faits, assistant cette fois indifférente à l’appel des uns et des autres. Quand ce fut son tour elle avait de nouveau retrouvé le contrôle de ses nerfs. D’une démarche majestueuse apprise lors de sa trop brève carrière de mannequin elle traversa la pièce presque vide à présent. Elle saisit sans difficulté son sac et le balança sur son épaule droite. Elle toisa froidement militaires comme professeurs gravant leurs visages dans sa mémoire, avant de disparaître…

Admin Nombre de messages : 123 Date d'inscription : 21/05/2007

Fille n° 29: NATSUYAKI Yurina - puerile et instable

Nombre de messages : 12 Age : 31 Date d'inscription : 14/08/2007

Yurina retrouvait peu à peu ses esprits. Une douleur à la tête la meurtrissait, et ses yeux s’ouvraient avec difficulté. L'obscurité qui régnait dans la pièce était angoissante. Tout c'était passé si vite, elle était montée dans le bus pour son voyage scolaire et puis...plus rien. La pièce était d'un lugubre affligeant elle manquait sincèrement de couleur pour Yurina. Elle essaya de bouger les jambes en vain elle était incapable de réfléchir tant son mal de tête la lançait. Cela ne rimait à rien. L’arrivée des militaires ainsi que des professeurs, et cette classe de voyous comme Yurina aimait le dire n’était que très peu rassurante et puis la vidéo et cette loi « Battle Royale ». Elle voyait défiler dans sa tête toute sa vie puis après avoir analysé la situation pour en faire la conclusion suivante : Elle allait devoir se battre contre ses camarades pour être la gagnante et donc survivre. A vrai dire elle ni croyait que très peu mais au fil du temps et surtout voyant la salle se vider peu à peu des élèves qui avaient reçu chacun un gros paquetage où était censés être plaçait leur arme la faisait changer progressivement d’avis. La voix de crécelle de la présentatrice résonnait dans sa tête, elle attendait impatiemment qu’on l’appelle. L’attente la rendait nerveuse et Yurina détestait cela, c’est pourquoi elle roulait des yeux pour détendre l’atmosphère bien qu’elle était la seule à vrai dire à se détendre. Qu’allait il lui arriver dehors, allait elle pouvoir compter sur ses camarades ou cela serait chacun pour sa peau. Yurina ne préférait pas penser à cela. Soudain elle entendit :

« Fille n° 29: NATSUYAKI Yurina »

*Chouette j’adore ce chiffre c’est peut être une signe*

Yurina se leva encore toute engourdie, il semblait qu’elle était l’une des dernières à partir ce qui ne la rassurait point. Elle attrapa le paquetage que lui tendit le militaire espérant avoir une arme utile pour se protéger puis s’engouffra dans l’obscurité de la sortie.

Voili voulou, explosons:

Kyosuke Nibarai, Akiko Inakagi, Kazuma Yuna,Kerotsuki Kusanagi,Seika Mitsano, Sakki Ryukestu

Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 02/08/2007

En se levant calmement du sol pour se remettre sur pied, Idate affichait une mine d’une personne assez fatigué et qui ne prêtait même pas attention à se qui se passait autour de lui. Physiquement il était fatigué et moralement la naïveté avait pris place dans l’esprit d’Idate. Quand il fit redresser, l’obscurité totale. Là, toute les pensés les plus folles sortaient de la tête d’Idate. Est-il mort ? Si ce n’est pas le cas, il était ou ? Il savait très bien que se n’était pas le cas mais c’était une simple hypothèse parmi tant d’autre. Ce voyage scolaire commençait à être de plus en plus bizarre. Idate avait compris petit à petit qu’il était juste dans une pièce ou il n’y avait pas de lumière. Il commence à marché droit devant lui et finit par percuter une chaise. Il prit celle-ci et s’assois tête baissé vers ces genoux yeux fermés et bras croisés, voilà la position actuel d’Idate. Après quelque minute dans l’obscurité, la lumière reprit le dessus. Même si Idate avait les yeux fermé, les reflets de la lumière frappaient ses paupières. Celui-ci leva à penne la tête et ouvrit ses yeux avec une grande difficulté. Par la suite il apprend qu’il devrait participer à un jeu. Son but était simple, il fallait survivre et pour survivre il fallait tuer. Quand celui-ci apprend cela, il restait fixer en regardant tout les élèves autours de lui. Tous devaient mourir. Il ce répétait cette phrase sans cesse. L’appel commençait, les uns après les autres par des numéros et ensuite par le nom. Idate avait pris connaissance des règles. Elles étaient simple et lui, il n’est pas le genre à ce défiler à la dernière minute donc…il allait tuer.

« Garçon n°29 : Idate Takumi »

Quand Idate entendit son nom, il se leva sa chaise en ajustant ses gants de motard et son béret qui cachait une partie de son visage. En marchant comme ci de rien n’était, il prit le sac de survis en regardant une dernière fois les dernier à sortir. Avec un petit sourire assez mesquin il marchait vers la sortie.

Nombre de messages : 32 Age : 32 Date d'inscription : 28/05/2007

Les différents élèves partaient à l' annonce de leur nom.Negi ne se sentait pas du tout bien,ses mains tremblaient.

*Tout le monde voudra me tuer?Au non,j ai vraiment pas de chance.*

Garçon n°11:YAMANAKA Negi-

Negi sursauta,s' accrocha au mur afin de se relever et marcha doucement vers les sacs,il en prit un.

*C' est lourd!*

Il se retourna vers les autres et partit en courant