Kazuki Miyamoto [ELITE], supérieur et solipsiste...[OKG9]

Nom, Prénom: Miyamoto Kazuki

- Age: 17 ans

- Taille: 1m75

- Descrïption physique: Kazuki se présente d'une manière habituelle comme un adolescent japonais distingué et qui, sans être vulgairement coquet, attache un soin incontestable lorsqu'il s'agit de son apparence, tant corporellement que vestimentairement parlant. De la taille d'un japonais moyen, son teint de peau est à priori tout aussi ordinaire d'une manière générale, quoi qu'il ait tendance à palir à l'excès dés lors que les chutes de température se font trop significatives. S'il met en valeur ses cheveux d'un noir ébène en maintenant une coiffure impeccable, il prend soin de dissimuler ses yeux bleus derrière des lunettes dont le noir réellement opaque est précisémment choisi pour s'assortir à ses cheveux autant qu'à sa tenue vestimentaire. Qant à la dite tenue vestimentaire, la deuxième de ses seules caractéristiques restant invariables, outre d'être complètement noire, est sans conteste de mettre trés nettement en valeur la fortune parentale.

- Descrïption caractérielle: Pour comprendre une grande partie du caractère de Kazuki, il faut avoir connaissance de l'histoire de son nom, tout du moins de ce qu'il a représenté, et plus particulièrement de son aïeul le plus célèbre, Miyamoto Musashi.

Miyamoto( 1584-1645 ) fut probablement le Samouraï le plus connu du Japon. Sa carrière exceptionnelle de maître d'armes et la philosophie qu'il tenta d'inculquer à travers sa discipline ont frappé l'imagination des Japonais. Il fut également un peintre et un calligraphe de premier ordre.
Né en 1584 dans le Kansaï, il prit part à la bataille de Sekigahara en 1600, contre les troupes de Tokugawa Ieyasu. Battu, il devint un rônin ( Samouraï sans maître ), et erra durant plusieurs mois, sans but. Il en profita pour développer une technique originale de combat à deux sabres ( nitô-ryû ), et devint un maître d'armes réputé. Il provoqua avec succès plus de 60 duels, et devenant ainsi le meilleur sabreur du Japon.
En 1637, il rentra au service de ses anciens adversaires les Tokugawa et combattit pour eux les révoltés chrétiens de Shimabara. Il devint alors instructeur en 1640 de la puissante famille Hosokawa de Kumamoto. C'est trois ans plus tard qu'il écrivit son célèbre ouvrage de stratégie d'arts martiaux " Gorin no Sho" ( Le livre des cinq cercles ). C'est ègalement à cette période qu'il exécuta ses plus belles peintures dans un style très épuré et incisifs. Il mourut en 1645.

En effet, c'est essentiellement en raison de l'ascendance familiale que Kazuki, élevé dans une tradition de respect des valeurs morales des samouraïs, les assimila à son caractère et par conséquent dans ses principes de comportement et de vie.Ainsi, Kazuki considère donc l'honneur, la détermination et l'acharnement comme des règles de vie primordiales.
Outre cela, si Kazuki est doté d'autres traits de caractère liés à son ascendance, c'est précisemment son orgueil, sa prétention, car il se considère comme largement supérieur à la moyenne, à juste titre sans aucun doute, et considère avec une froideur hautaine et méprisante toutes les personnes qui n'ont pas son niveau et qui ne respectent pas au minimum ses valeurs, qui sont pour lui la base de la dignité humaine. De ce fait, il a priss l'habitude de regarder donc du haut de tout son mépris quiconque n'a pas son niveau.
Par ailleurs, Kazuki s'est effectivement tenu aux valeurs auxquelles il adhère pour construire sa vie. S'acharnant au travail, il n'a cessé de pousser toujorus plus loin pour développer ses connaissances autant que la compréhension qu'il en avait, et donc son ouverture d'esprit. Pour ces raisons, il est dans un sens assez marginal, dans la mesure où il reste généralement à l'écart de l'ensemble populaire qu'il considère, malgré le niveau de l'établissement dans lequel il etudie, comme des sous êtres terre-à-terre et totalement incapables de toute réflexion légèrement poussée.
C'est aussi pour cela qu'il a, avec les deux seuls étudiants de son lycée pour qui il a une certaine estime, fondé une confrérie les réunissant, ces deux personnes et lui-même, autour d'idéaux, de visions du monde et de théories élitistes anti-sociales qu'ils ont en commun. Cette Confrérie Elitiste Anti-Manichéiste, est selon ses membres, une élite parmi l'élite, car elle s'élève au dessus de tous les préceptes et principes de la société que les membres sus-évoqués considèrent comme des restrictions dogmatiques à considérer comme des barrières intellectuelles et "panurgiseantes". Ce qui ne les empêchent toutefois pas de s'être tous trois adaptés, et d'avoir donc manipulé le moule afin de pouvoir l'utiliser pour acquérir des connaissances et la maîtrise de ces dernières, dans le but de les inclure dans leur vision des choses, dans le but de la renforcer. Kazuki, pour sa part, s'est distingué , dans un premier temps, par son interêt et son accord à la thèse solipsiste qu'il a étudié notamment à travers Wittgenstein, ainsi qu'à la vision de Friedrich Nietzsche de la thèse dualiste.

- Situation sociale: Pour la plus grande partie, la fortune plus que conséquente de la famille Miyamoto vient, aux mêmes titres que leurs règles de vie, de leur ascendance même si, extrêmement appliqués au respect des règles de vie sus-évoquées, la descendance de Miyamoto Musashi n'a eu de cesse de faire fructifier une fortune deja importante. Pour cela, Kazuki est entièrement conscient que même s'il était le dernier crétin, soit l'opposé de ce qu'il est, il pourrait vivre dans un luxe décadent toute sa vie sans avoir jamais le moindre souci d'argent. Outre cela, le cadre familial dans lequel évolue Kazuki n'a rien de particulier, dans la mesure où il toujours ses deux parents et que ceux-ci sont toujours mariés.

- Biographie : Tout est épars dans les autres parties précédentes...

- Aime: Kazuki est passionné de philosophie, de psychologie, apprécie particulièrement la musique dans laquelle il aime se laisser immerger pendant de longues heures. Il apprécie par ailleurs de sa consacrer à la littérature sous ses formes les plus diverses, autant en tant que lecteur qu'en tant qu'auteur amateur. Et pour finir il apprécie naturellement pour seuls moments de non solitude les longues conversations avec ses confrères de la CEAM.

- Déteste: Se mêler au reste de la masse populaire, même dans un lycée qu'il qualifie de pseudo-élitiste. Il abhorre plus que tout les tricheurs, qu'il apprécierait de punir à coups de pieds, ne les estimant pas même dignes d'être frappés de ses mains, et tous ces "résidus purulents constituants cette masse organique abjecte et écoaurante" qu'est la masse panurgienne, selon ses propres mots. En cela il inclue aussi les personnes qui ne sont pas capables de progresser par leurs seuls moyens, et qui ne sont donc pas dignes de leurs réussites, ni même de leur existence.

- Ami(e)s:

Nouhei Naoko, Joukyuu Akeno: (+++) Ils sont tous deux ses confrères de la CEAM, ce qui signifie tout ce qu'il y a à dire de leurs relations.

Ogasa Yoko: (+) Premièrement, Kazuki suit des idéaux d'élitisme bien définis qui sont en contradiction relative avec l'extravertion de Yoko qui est bien trop bout-en-train au goût de Kazuki. Qui plus est, la maladresse, caractérisant selon Kazuki un manque de controle de soi a le don d'agacer singulièrement ce dernier, qui, eu égard à ses traditions et valeurs, ne tolère pas l'échec. Ensuite, d'un point de vue autre, Yoko est en froid avec son confrère Akeno, autre point négatif. Pour finir, elle entretient avec Hayato Anna des rapports positifs tandis que Kazuki ne saurait la supporter. Toutefois, parce qu'elle est malgré tout, disons "attachante" comme un enfant trop vite grandi et que, pour cette raison, Kazuki préfère s'en tenir à une politesse formelle vis à vis de Yoko, en se tenant toutefois à l'écart afin d'éviter toute mise en présence prolongée.

Ennemi(e)s:

Yasashii Suijin: (--) Suijin n'est somme toute pour Kazuki qu'un baratineur de bas étage dont il aurait pris soin de faire abstraction de son existence, si celui-ci ne s'était pas fait remarqué en osant critiquer la CEAM, "jurant" ouvertement contre l'intégration d'Akaimajo dans celle-ci. Qui plus est, le fait qu'il ait la bassesse d'esprit de considérer que Kazuki soit le leader de la Confrérie n'a fait que l'irriter encore. Suijin est pour Kazuki un vulgaire moustique l'asticotant, qu'il se ferait un plaisir d'écraser à la première occasion.


Inohara Shimei: (--) Kazuki considère Shimei comme un traître à ses origines, et nomme lâcheté ce qui le pousse à renier son nom et son niveau social. Il méprise totalement sa volonté de rébellion qu'il juge tout juste digne d'une crise de puberté pré-adolescente, ainsi que sa manière de te vêtir qu'il trouve tout simplement grotesque, pour ne pas dire digne du cirque Zavatta. Par extension, il estime qu'il devrait, plutôt qu'être prétentieux outre mesure, observer une humilité discrète. Enfin, Kazuki ne tolère naturellement pas sa tendance à la moquerie, et ne manque pas comme aucun de ses confrères dans ce genre de cas de répondre à aux dites moqueries.

Hayato Ana: (-) Kazuki aurait pu considérer son niveau social acceptable, et sa manière de "converser" avec une souris aurait pu faire d'elle, aux yeux de Kazuki, un bon sujet d'étude psychiâtrique, sans compter que son excentricité montre un certain détachement vis à vis des valeurs dogmatiques sociétaire. Mais il s'est avéré que son comportement des plus infantiles et immatures l'ont rendu indigne de fréquenter Kazuki et ses connaissances élitistes.Ne la considérant pas pour autant comme un rebus à extraire de l'espèce humaine, il s'en tient à dédaigner sa compagnie ainsi que toute chose pouvant mettre en évidence sa présence à moins de 50m de lui.

- Gentil ? Méchant ? Miyamoto Kazuki ne reconnait pas l'existence absolue d'un concept établissant un "bien" et un "mal" d'une manière aussi absolue, et voit dans ces concepts un manichésime étriqué et dogmatique. Pour cette raison, il se refuse à reconnaitre l'existence qu'une quelconque gentillesse ou méchanceté, considérant en outre qu'il n'est pas de définition suffisamment satisfaisante de ces mots pour pouvoir établir qui peut se considérer comme concerné par l'un ou l'autre.

- Citation: La liberté dans le sens pratique est l'indépendance de la volonté par rapport à la contrainte des penchants de la sensibilité.

validé garçon n°9!