La quète de l'amitié.....

Ken avait marché durant une bonne demi-heure avec Yeo , qui restait sur ses garde , surement apeurée come toutes les personnes sur cette ile.....

Ils avaient quittés la ferme laissant la fourhce derrière eux , puis avaient avancés encore et toujours , essayant de se reperer au étoiles. Il avaient traversés le pré qui entouré la ferme , puis une sorte de petit bois inquiétant , ou les branches tel des griffes monstrueuse se dressées dans la nuit prète à vous prendre dans leurs chair et à ne plus jamais vous en laissez ressortir.....
Des bruits de bois craquer ici et là certains moment , le laissant pensée qu'il était observé par une quelconque personne prète à les tuer , lui et Yeo...
Aprés les bois , ils parcoururent un petit chemin de terre éclairaient par la lune sévère , impatience d'avoir sa dose de sang...
Le chemin les mena directement au phare donta vait parlée précedemment Yeo , grande batisse blanche , un peu apeurante mais tout de même vivable....
Ils entrèrent précautionneusement dans la salle principale , une grande cuisine qui servait également de salle à manger et de bureau au gardien du phare.....
Ken fit le tour de la pièce très lentement regardant si personne n'occupé les lieux , puis , faisant signe à Yeo de rester là , il monta les escaliers , allant découvrir la chambre , plongé dans l'obscurité...et enfin le toit du phare qui laisait comme l'avait prévu Yeo une magnifique vu sur l'île....

Redescendant vers la salle principale , il retrouva Yeo , et l'informa de l'absence de présence ici....

-" Apparemment , nous sommes les premiers à êtrent arrivés ici ! Il n'y a personne."

puis s'asseyant sur une chaise de la table à manger ...

-" Nous devrions peut etre voir si nous ne trouvons rien d'utile ici , tel des médoc ou une trousse de secours !"

Ils étaient enfin sortis du pré et avançaient en direction de l côte. Le phare ne devait plus tarder à se montrer. Plus ils s'approchaient des côtes, plus le vent se faisait violant et saisissant. Yeo frissonnait, d'autant que l'atmosphère autour d'eux n'avait rien de rassurante.
Enfin, trônant a quelques mètres d'eux, l'imposante tour du phare se dévoilaient enfin. Cette hauteur démesurée inquiétait Yeo. Dans son enfance les tours de princesse la faisaient rêver, attendre qu'un beau prince vienne la délivrer... Mais celle ci ressemblait plutôt a une immense pierre tombale, et personne ne viendrait l'aider. Elle pensa tout haut:

-"Une fois là haut on sera comme...piégé."

Ils entrèrent, Ken le premier s'assura que la voie était libre. Ils passeraient sans doute la nuit dans cette unique pièce et au matin, reprendraient la route à la recherche de maki.

Pendant que Ken jetait un oeil sur le toit su phare, Yeo avait déposé son sac et prit possession des lieux, fouillant dans les moindre recoins, pots et placards.

-" Apparemment, nous sommes les premiers à être arrivés ici ! Il n'y a personne."

Il s'installa autour de la table.

-" Nous devrions peut être voir si nous ne trouvons rien d'utile ici, tel des médoc ou une trousse de secours !"

Yeo le regarda, surprise

-"Tu es blessé? Ici il n’y a que des nouilles en sachet et du thé."

Elle continuait de fouille la pièce et trouva une bouilloire.

-"Tout ce que je peux faire...c'est du thé.
Dis on voit quelque chose de la haut? Tu as pu repérer quelqu’un?"

Yeo espérait que Ken est pu apercevoir des lieux visibles ou Maki pourrait être.

Apparrement , Yeo avait deja fait le tour de la pièce et avait vu les denrées et autres choses qui pourrait servir , mais la question de savoir si il était blessé , esquisça un doux sourire au jeune homme...

-" Ne t'inquiéte pas , je ne suis pas blessé , mais il vaut mieux prevoir non ?"

Regardant Yeo , se démenait dans la cuisine lui proposant du thé. On voyait qu'elle était un peu paniquée mais qui ne le serait pas ici ? Ou plutot dans cette situation.
Ken se leva et alla voir vers ou menée la petite porte de l'entrée. Quelle joie de découvrir un toilette !
Ken ne se priva pas de les utiliser puis sortant , se laver les mains dans l'evier de la cuisine , il se souvins que l'eau était coupé et qu'ils n'avaient que deux bouteilles chacun !
Aussi ne pourrait il pas se laver les mains! Quelle horreur tout de même !
Mais le plus grave n'était pas là , il fallait s'arrangé pour la nuit !
Ken y réfléchis quelques minutes puis repondit à la question de Yeo

-" On voit pas grand chose ! C'est la nuit et à part la foret , les montagnes et les lumière de la caserne j'ai rien vu !"

Il fit le tour de la table et s'assit de nouveau.

-" On va se reposer ici pour cette nuit ! Il y à une chambre dans les escalier ! Tu pourra dormir la cette nuit ! Moi je reste ici pour monter la garde !"

Akeno marcha un moment puis il aperçut le phare qui dépassait des arbres. Il décida que ce serait un bon endroit où dormir et peut-être faire un bon repas. S’il voulait retrouver ses amis et envisager une quelconque survie, il fallait déjà qu’il ne soit pas affaibli par le manque de fatigue ou de nourriture quand le soleil se lèverait le lendemain. Le jeune homme avait rangé sa petite arme dans son pantalon, il était déçu de ce qu’il avait reçu mais il devait faire avec et il y avait toujours un moyen de se défendre.

Il se disait qu’il y aurait peut-être quelque chose d’utile dans le phare aussi. Il ouvrit donc la porte silencieusement, il ne voulait pas attirer des élèves qui seraient non loin. Mais quand il se trouva dans la pièce la lumière de la lampe le fit sursauter. Il n’était pas seul, il y avait deux personnes dans la salle principale et leurs lampes étaient les seules sources de lumière. Il s’adressa aux deux protagonistes :

« Qui êtes-vous ? Je ne vous vois pas… »

Il était aveuglé par les lumières qui se posaient sur lui.

-" On voit pas grand chose ! C'est la nuit et à part la foret, les montagnes et les lumière de la caserne j'ai rien vu !"

Yeo s’assit en face de Ken.

"-Demain matin on essayera de faire un tour dans les environs. Je suis certaine que Maki est dans le coin."

-" On va se reposer ici pour cette nuit ! Il y à une chambre dans les escalier ! Tu pourras dormir la cette nuit ! Moi je reste ici pour monter la garde !"

Elle regarda Ken et sourit.

"-Je sais qu’on va avoir besoin de sommeil tôt ou tard, mais pour l’instant je ne suis pas capable de fermer un œil. Et puis je vais pas te laisser rester réveiller tout seul."

Ses yeux cernés la trahissaient mais elle ne voulait pas céder à la fatigue et décida de sortir sa carte.
Elle s’apprêtait à parler quand dans un sursaut elle fixa Ken, les yeux grand ouvert.

"-Il y a quelqu’un qui monte les escaliers"

A peine eu t elle fini sa phrase que la porte du phare s’ouvrait.
Yeo se le va brutalement de sa chaise qui se renversa, et pointa fermement sa lampe en direction de la porte pour aveugler l’intrus.

« Qui êtes-vous ? Je ne vous vois pas… »

Cette voix ne lui était pas familière et n’avait rien de rassurant. Yeo remarqua que l’inconnu n’était pas armé, elle baissa sa torche et lança un regard à Ken pour qu’il en face de même.

"-qui es tu ? tu es seul ?"

Kazuki avait marché un bon moment sans croiser personne, ce qui l'avait déçu. Il décida de se rendre dans le phare, un endroit qui, selon lui, pourrait servir de refuge à quelques êtres inférieurs terrorisés. Il n'avait pas encore regardé son arme, choisissant de laisser encore un peu de suspense, histoire de s'amuser un peu.

Bingo. Les rumeurs des conversations lui apprirent qu'il y avait deux personnes à l'intérieur, deux personnes dont il ne connaissait pas la voix - sans doute des ratés de l'autre lycée -, plus une autre personne, de valeur celle-là, qui se trouvait par chance être fort familier de Kazuki.

Poussant lui aussi la porte, avec un certain flegme, il prit le temps de saluer la compagnie en se plaçant aux côtés d'Akeno.

" Enchanté de te revoir, Akeno. Quant à vous deux, je crains de paraître impoli et de manquer des urbanités les plus élémentaires en coupant les conversations, mais auriez-vous l'obligeance de décliner vos identités et a fortiori, vos conceptions de ce jeu créé par notre gouvernement bien-aimé ? "

Une petite touche d'ironie finale ne pourrait pas déplaire à l'assemblée... Tout ce qu'il fallait savoir, c'était si les deux autres méritaient de vivre.

Yeo ne voulait pas dormir...chose normal quand on pense à tout ce qui était entrain de leurs arrivé , mais tout de même, il fallait qu'elle reprenne des forces pour continuer à survivre durant ces trois jours...
Quand Ken voulut lui expliquez qu'elle tout de même mieux d'allez dormir la jeune fille le prit de cours...

"-Il y a quelqu’un qui monte les escaliers"

Ken jeta un coup d'oeil inquiet vers l'escalier et y pointa sa lampe...
C'était un jeune homme qu'ils ne connaissaient pas , surement un de ces élèves du lycée élite !

« Qui êtes-vous ? Je ne vous vois pas… »

Ken laissa yeo répondre comme il se devait , et voulait attendre la réponse de l'inconnu , mais un second inconnu vint prendre place dans l'affaire.... encore un élitiste apparrement !
Le voyant saluer l'inconnu qu'il appeler Akeno , Ken jeta un regard un peu plus inquiet aux deux elitiste puis fit les presentation....

-" Ken Tsuda ! Et elle c'est Yeo Kyungjin ! Quand à notre conception du jeu... C'est pathétique , mais je ferai tout pour que mes amis survive!!!!!"

Akeno entendit une voix de fille qui l’interrogeait sur son identité et il la déclina aussitôt sans réfléchir :

« Akeno Joukyuu, j’suis du lycée Meichuu Sakari. Oui j’suis seul. »

En effet, il ne s’était pas rendu compte que son ami le suivait de près et qu’il n’allait pas tarder à surgir dans la scène. Akeno attendait que les deux protagonistes lui apprennent en retour leurs identités mais quelqu’un surgit derrière lui. Il se retourna brusquement prêt à frapper un individu quelconque, mais voyant le visage de Kazuki il eut un sourire soulagé et lui répondit :

« Kazuki, je commençais à dépérir sans un membre de notre chère confrérie sur cette île. »

Une voix de garçon, cette fois-ci, répondit aux questions de son ami. Akeno répondit au jeune homme :

« C’est une vision bien noble et courageuse que tu as de l’avenir, Ken. Mais malheureusement, je pense que le gouvernement en a décidé autrement. Ca ne vous gênerait pas de baisser vos lampes ? J’ai omis d’emporter mes lunettes de soleil. »

A présent que les deux amis s’étaient retrouvés, il ne faisait pas de doute qu’ils souhaitaient pouvoir s’installer tranquillement quelque part et discuter de la situation dans laquelle ils se trouvaient. Mais ils ne pouvaient pas faire cela à découvert, il leur fallait un endroit sur et le phare semblait être une bonne solution. Il fallait simplement que ces deux élèves arrêtent de se méfier.

[-->Fait ses emplettes ]

Takayama marchait, c'était un éternel marcheur, depuis le début du jeu il n'avait cessé de marcher, mais pourquoi marchait-il ?
Tant de questions se bousculaient au portillon, tant de réponse et pas une seule de satisfaisante, il marchait, encore et toujours, en quête de sang, en quête de pouvoir mais était-ce bien là son unique but.

Le fracas des vagues était plaisant, se promener sur la plage l'aurait été tout autant dans d'autres circonstances, il se caressa alors la nuque et ses doigts entrèrent en contact avec la froideur du métal dont était fait le collier. Non il n'était pas là pour se faire le chantre du bruit des vagues venant se fracasser sur l'écueil des rochers, il était là car il en avait été décidé ainsi.
Mais il était la résurrection du diable, tout lui revenait en tête à présent, sa quête, son destin, son objectif, même sa prose démente lui revint.

Un phare se dressait devant lui, impétueusement, encore une preuve de l’arrogance de l’homme, ôtant de sa vue l'horizon et cachant la voûte céleste, son royaume.
Il fallait châtier un pareil édifice et ses occupants aussi, il en fît le tour silencieusement pour observer l'arrogance de l'édifice, torche à la main pour éblouir d'éventuels assaillants.
Le premier niveau était doté d'un promontoire avec une rambarde rouge caractéristique signifiant attention danger !
Un escalier en métal permettait d'y accéder depuis la terre ferme.

* Quelle hérésie, cet endroit en est que moins sûr ! * pensa le rôdeur en gravissant les marches. Les yeux clignèrent lorsqu'il aperçut une passerelle rudimentaire qui menait vers le bloc compact et très carré qui composant le phare.

Takayama marcha sur la passerelle, à peu près à mi-chemin il pot de fleur gênait son passage. Les pulsions du jeune homme instable prirent le dessus, un grand coup de pied envoya l'obstacle se briser contre la colonne du phare produisant un bruit caractéristique. Les morceaux s’étalèrent régulièrement de façon concentrique au sol et le son produit par les éclats devait sans doute avoir réveillé les démons de minuit, Sekku l'obscur décida donc de quitter cette passerelle dangereuse en cas de coup de vent et de regagner la terre ferme, promptement.
L'alarme était maintenant donnée, déjà le démon jubilait intérieurement à l’idée de l’effroi qu’il avait pu provoquer dans l’esprit des inconscients qui s'étaient peut-être réfugiés ici.

D'un pas décidé il s'en allait vers d'autres horizons laissant derrière lui cet édifice sinistre qui finirait bien par s'écrouler avec le temps. Arrivé à la crête il commença à courir.

[--> Maison n°4.. ]

« Akeno Joukyuu, j’suis du lycée Meichuu Sakari. Oui j’suis seul. »
Yeo allait abaisser sa lampe du visage du jeune homme posté devant elle quand un deuxième élève s’introduisit sournoisement dans l’encadrement de la porte.
Alors que le premier paraissait calme et enclin à la conversation, son partenaire lui, bien que d’une troublante beauté, était manifestement plus imbu et audacieux.
Suite au long discourt du second inconnu à l’allure condescendante, Yeo lança un regard des plus stupéfait à Ken qui avait trop sagement répondu. Elle affichait une mine exaspérée :

*Quoi ?…pourquoi à tu été aussi obéissent ?*

L’idée que celui à l’allure princière ait retourné la situation à son avantage, laissant paraître Ken et Yeo intimidés, et qu’il connaisse leurs noms, la laissait plus méfiante que jamais. D’un geste apathique, elle releva sa lampe en direction des intrus, en pensant :

*Ce pseudo prince... il aurait du sortir son arme, l’impact aurait été plus incisif, au lieu de servir un concentré massif et exagéré de tout son vocabulaire, qu’il utilise d’ailleurs bien maladroitement.*

Elle voulu s’adresser à eux mais fut coupé par Akeno :
« Kazuki, je commençais à dépérir sans un membre de notre chère confrérie sur cette île. »

Elle s’avança lentement vers la porte en baissant sa lampe, s’adressant le plus aimablement possible étant donné la situation, au dénommé Akeno:
-"Vous vouliez certainement un endroit ou passer la nuit. Celui-ci est occupé. Mais le coin ne manque pas de pas d’endroit ou se reposer, faites donc demi-tour."

Son regard fixe restait respectueux, et son timbre de voix était doux, mais elle s’adressait à eux avec éloquence et impassibilité :
-"Vous pouvez comprendre qu’il soit mal venu de vous laisser rester ici, et je ne dis pas ça seulement parce que ..."

L’air sévère mais amusé, elle pointa sa lampe sur le visage de « Kazuki » :
-"…sa majesté ne m’inspire aucune confiance."

Elle espérait qu’ils allaient reprendre leur chemin. Néanmoins, les regardant avec insistance, elle se répétait en souriant:
*Soit proche de tes amis… Et encore plus de tes ennemis. *
Elle se rendit compte que la situation était aussi difficile pour eux et dans un esprit de compassion, elle allait se résoudre à les laisser rester avec eux quand un bruit dans l’escalier la fit sursauter.
Ce dérapage venait de réveiller l’animosité de Yeo. Elle n’arrivait même pas à afficher une quelconque colère, s’en voulant tellement d’avoir fait confiance si vite. Elle constata, d’un air dépité, comme si elle se savait déjà perdue :

-"D’abord tu es seul, ensuite ton ami surgit derrière toi, et maintenant vous êtes combien dans les escaliers ?"

[HJ: Sekku, comment fais tu pour prendre une assiete alors qu'il n'y a qu'une seule pièce dans le phare et que Akeno et Kazuki te bloquent l'entrée ? ^__^]

L'un des élèves se présenta, en profitant pour évoquer son ami et son objectif - louable selon certains préceptes moraux populaciers, mais bassement futiles selon les croyances miyamotiennes, bien qu'il n'ait pas dans l'idée de massacrer ses propres acolytes ou les rares gens de valeur qu'ils pourraient croiser sur cette île.

Mais la deuxième élève ne semblait en aucun cas lui faire confiance... Vulgaire femelle affichant trop de réflexion pour mériter ce titre... Cependant, Kazuki ne pouvait pas prendre le risque d'éveiller les soupçons. Et dire que cette Yeo ne se doutait même pas qu'il n'avait pas encore dans l'idée de la tuer...

Kazuki allait répondre lorsqu'un bruit de vaisselle se fit entendre dans l'escalier. Choisissant de protéger leurs arrières à tous, il referma immédiatement la porte et eut le plaisir de constater qu'une clé s'y trouvait. Il la tourna immédiatement, fermant l'entrée à double tour : que l'inconnu reste en arrière et les laisse tranquilles.

Il reprit ensuite ce qu'il allait dire à la jeune femme :

"Sa majesté se permet de te déclarer qu'il est en possession d'une arme qui permettrait de trouer la peau de mes ennemis - et donc, la tienne s'il le faut. Un Smith & Wesson est toujours utile. Or, tu remarqueras que je n'ai pas été hostile à votre égard jusque là... Simplement prévoyant. "

Quelle serait la suite des événements ? La tension qui allait certainement monter si les relations s'envenimaient en déciderait...

Pourquoi Yeo commençit elle à s'enrever ainsi ? Il est vrai que la situation dans laquelle ils se trouvaient était des plus stressante mais ilfallait arriver à garder son sang froid !
Le garçon du nom de d'Akeno avait l'air assez tranquille et ne semblait pas vouloir poser problème, quant au second...Ken ne lui faisait absolument pas confiance, son air de monsieur le laissait perplexe et le faisais se demander si lors d'un combat elites contre rebuts, ce ne serait pas les élites qui sortiraient vivants....
Pourtant quand ce garçon parla de son Smith & Wesson Ken ne pu s'empecher de taper d'un grand coup sur la table avant qu'un bruit de vaisselle ne parvienne à ses oreille.
"La majesté" comme l'appellait Yeo ferma la porte à clef, mais Ken ne se laissa pas impressioner et prit la parole d'un ton ferme mais calme

-"Calmez vous tous! On est dnas une situation merdique et je suis sur que personne ne veut tuer ou etre tuer!"

Le garçon, ancien prostitué regarder tour à tour toutes les personnes présentes dans la pièce puis reprit

-" Yeo , garde ton sang froid , et vous les élitistes sans vouloir vous commander laisser vos sacs pres de la porte si vous restez avec nous!"

Ken avait pris un petit air de commandant qu'il n'avait jamais chercher à avoir, mais il voulait qu'ils s'en sortent tous sans aucunes blessures car il ne pourrait correctement protéger Maki si il était mort ou blessé....

La jeune fille s’adressa à lui en lui conseillant poliment de partir d’ici mais il n’était pas convaincu et encore moins enclin à obéir à l’élève. Au lieu de faire demi-tour, il s’appuya confortablement contre la porte fermée par Kazuki et répondit à Yeo :

« Les environs ne sont guères hospitaliers, et maintenant que nous avons de si charmants compagnons pourquoi devrions-nous partir ? De plus, évite d’employer l’impératif à mon encontre, je supporte difficilement. »

Mais il restait souriant en usant ainsi d’ironie à propos du plaisir que leur procurait leur compagnie. Il se moquait d’elle et avait décidé de rester ici, une décision d’Akeno n’était pas à revoir. Ils les accepteraient ou partiraient. Puis elle ajouta quelques justifications à sa réaction et avoua qu’elle ne faisait pas confiance à Kazuki. Il rit à la réponse de son ami et s’adressa à lui :

« Kazu’, tu n’y mets pas franchement du tien ! Comment veux-tu que nous puissions créer des liens avec ces gens si tu les menaces ? »

A vrai dire il n’avait aucunement envie de sympathiser. Un abri, de quoi se reposer et se restaurer, voilà ce qu’il cherchait. Et la phrase semblait l’endroit rêvé, il y avait certainement des lits, de quoi faire à manger…Mais ces deux élèves commençaient à l’agacer. Alors que le mec croyait qu’il pouvait prendre les commandes de la scène qui commençait à partir en vrille, la jeune fille mettait en doute sa sincérité :

« Ecoute, l’excitée, si j’avais voulu te cacher la présence de mon pote pour pouvoir te prendre par surprise et t’égorger, tu serais déjà morte. Chez les élitistes, nous sommes efficaces. Par contre, si t’arrête pas de piailler, je crains que je sois forcé de te faire taire. »

Il se faisait plus menaçant en se redressant, et les paroles du compagnon de Yeo le fit réagir en conséquence. Il souleva le sac qui pendait à son épaule et le replaça convenablement pour qu’il tombe sur son flanc. Il n’avait fait que le bouger de quelques centimètres et n’avait bien entendu pas obéi à la requête de Ken. Il lui jeta un air de défi et lui dit :

« Ecoute moi bien, je ne pose mon sac nulle part tant que le votre n’est pas loin de vous. Vous jouez les brebis apeurées, mais nous sommes dans la même situation que vous. C’est comme si je te demandais de me confier vos armes. »